Anthologie Utopiales 2017

Cette anthologie, aussi passionnante que ses prédécesseurs, avait pour thème Le temps, thème décliné de façon variée par les textes proposés, certains anciens et republiés à l’occasion, certains écrits en réfléchissant au thème.  

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ROUSSEAU Bérengère 01

©photo : Marc Bailly Photos   • Auteure éditée • Nationalité : Belge • Biographie

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Autre côté de nulle part (L’)

Voici encore quelques textes retrouvés, parus ici ou là ou inédits, de Jean-Pierre Fontana, tous retravaillés pour cette publication (il y a un ou deux textes dont on peut imaginer qu’ils ne pouvaient pas être tels dès la première parution). Variés, allant de la SF au western en passant par fantasy et fantastique, ces textes réservent quelques surprises aux lecteurs. De bonnes surprises pour moi, pour vous aussi j’espère.   L’autre côté de nulle part, par Jean-Pierre Fontana, Armada

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Carnets de croquis… Jérôme Lereculey et Christophe Vacher

Une collection de carnets à spirales pour détailler le travail des illustrateurs. Déjà riche de plusieurs titres (http://www.editions-armada.com/Ouvrages/ouvrages.html#croquis), on y trouve des crayonnés comme des images mises en couleurs.

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Galaxies Nouvelle Série n° 50

A l’instar de Phénix en 1999, Galaxies célèbre ses 50 numéros. La revue a demandé à 50 écrivains et collaborateurs de rédiger un texte, ou de dessiner une illustration ou une petite BD. Bien sûr, ces articles interpelleront le lecteur d’après sa sensibilité. J’en ai pointé quelques-uns.  

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Qui a peur de la mort ?

Voici un roman dont la première traduction en français n’a pas eu le succès mérité à cause d’un éditeur dont les publications SF restent trop confidentielles, vu que ce n’est pas son « cœur de cible ».

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Aliss

Version sadienne de Alice aux pays des merveilles, ce roman excitera la fascination de ses lecteurs pour le gore et le vice. Sa très jeune héroïne fuit un quotidien fade et prévisible chez ses parents, en espérant prendre un aller simple pour le monde exotique des sensations fortes qui s’étend à l’infini « par de là le bien et le mal ». C’est une bouche de métro qui l’y conduit inopinément, à l’instar du terrier de lapin qu’emprunte son ancêtre, Alice, au début de l’œuvre culte de Lewis Carroll.

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