Main de Marianne ( la )

J'ai une vraie passion pour la découverte de nouveaux écrivains et c'est pour cela que j'ai créé, avec des amies, une association qui a pour but de soutenir les auteurs indépendants. Alors quand Arnaud Codeville qui a conçu la couverture de ce premier roman de Floryan Després m'a demandé si j'avais envie de bêta-lire La main de Marianne j'ai dit oui... Bien m'en a pris. Je ne suis pas une grande fan des romans policiers qui ont de plus en plus de mal à me surprendre. Une enquête palpitante sur un meurtre peu commun, c'est exactement ce que j'attendais pour me réconcilier avec le genre.

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DESPRES Floryan 01

Petite présentation pour nos lecteurs : qui êtes-vous ? J'ai 58 ans, marié et père de deux garçons de quatorze et dix-huit ans. Ingénieur dans le domaine de l’environnement et de l’aménagement du territoire, je me suis également mis au service des habitants de ma commune et du Valenciennois, en endossant différentes responsabilités en tant qu'élu local.   Comment en êtes-vous venu à l’écriture ?

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Vestiges

C’est drôle, dans ma bibliothèque j’ai la trilogie Quantika de Laurence Suhner parue chez L’Atalante, et je n’ai commencé à la lire que lorsque le premier tome Vestiges est sorti en format de poche chez Folio SF. Je découvre l’auteur avec ce premier titre, et le moins que je puisse dire c’est que c’est original. J’avais l’impression de lire un auteur anglo-saxon traduit.

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Étoiles rouges, la littérature de science-fiction soviétique

Co-responsable du domaine russe dans la revue Galaxies, Patrice Lajoye est l’auteur de l’anthologie Dimension URSS, parue chez Rivière Blanche en 2009, que j’avais fort bien critiquée ici même. Cette fois, il publie un essai sur l’évolution de la SF durant la période soviétique (1917-1992). C’est aussi un guide de lecture, comportant bon nombre de résumés de romans ou de nouvelles. Car, selon les mots de Lajoye, « La SF soviétique a bel et bien produit quelques chefs-d’œuvre », et il veut nous les faire découvrir.

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Tout sur le zéro

Le dernier roman de Pierre Bordage, Tout sur le zéro, publié par les éditions Au Diable Vauvert, représente une rupture assez radicale avec ce qu’il avait écrit auparavant, tant sur le fond que sur la forme. A priori, cette histoire avait tout pour me rebuter : succession de monologues intérieurs (mais sans être vraiment une polyphonie, avec l’entremêlement des pensées des protagonistes), technique d’écriture particulière (une phrase par chapitre), sujet traité (les affres des joueurs de roulette, les pauvres chéris).

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