Soumis par Marc Van Buggenhout le lun, 04/05/2009 - 17:54
C’est toujours un plaisir de retrouver un livre de Jack Vance, même si il s’agit d’une réédition. ActuSF vient de sortir Baroudeur, un livre qui reprend cinq nouvelles qui sont sorties en 1951 et 1961. Dans un format pratique et très démocratique, ActuSF continue d’éditer régulièrement des perles de la SF. Les nouveaux lecteurs découvriront des nouvelles qui peuvent toujours se lire aujourd’hui, tandis que les anciens retrouveront des nouvelles qui étaient disséminées dans d’autres recueils.
Soumis par Chris de Savoie le lun, 04/05/2009 - 17:54
Dans l’Amérique de demain, Hiro est un hacker renommé et un maître du combat au sabre. Mais pour gagner sa vie, le jeune homme est obligé d’endosser l’habit de livreur de pizza pour le compte de Tonton Enzo, le boss de la Mafia. Ce boulot n’entraîne qu’une seule obligation, mais de taille : livrer la commande dans les 30 minutes. Sinon… Mais ce jour là, tout va de travers pour Hiro qui plante son véhicule au fond d’une piscine. Il ne lui reste alors plus qu’à fuir son employeur. Parallèlement, Hiro se trouve confronté à une toute nouvelle drogue, le Snow Crash.
Soumis par Josèphe Ghenzer le dim, 03/05/2009 - 17:53
La mémoire dans la peau Meurs un autre jour
Soumis par Christophe Corthouts le dim, 03/05/2009 - 08:41
La force d’un thriller réside souvent tout autant dans l’ingéniosité de son intrigue que dans la découverte du milieu où toute l’histoire prend corps. Ainsi, l’indétrônable Da Vinci Code s’inscrit dans la tradition archi-classique de la chasse au trésor... mais parvient à capter son auditoire en « révélant » les arcanes de quelque "Grand Secret" jalousement gardé par l’Église.
Soumis par Chris de Savoie le dim, 03/05/2009 - 08:40
M. et Mme Maréchal forment un vieux couple exemplaire, vivant et joyeux, qui possède une jolie maisonnette et a élevé trois beaux enfants. Une vie quelconque mais satisfaisante jusqu’au jour où M. Maréchal, poussé par un improbable démon, propose à son épouse de la tromper.
Mais pas avec une autre femme. Avec elle. Mais ça ne serait pas elle, mais une autre. Son épouse horrifiée refuse mais M. Maréchal fait alors la connaissance de Clotilde, puis de Jéhanne. Face à ses liaisons, le couple vacille et l’univers de M. Maréchal s’écroule.
Soumis par Marc Van Buggenhout le sam, 02/05/2009 - 20:14
Ce deuxième tome de la saga des sept soleils continue sur le même rythme que le premier. L’histoire se passe cinq ans après les événements du premier. L’humanité est toujours en guerre contre les hydrogues et a de plus en plus de difficultés à s’approvisionner en ekti (le carburant des vaisseaux qui permet à l’humanité de se déployer dans la galaxie). Les hydrogues détruisent les sites d’exploitation de l’ekti et paralysent ainsi l’humanité.
Soumis par Freddy F. Lewis le sam, 02/05/2009 - 20:13
Sven et son groupe de commandos Aux auraient bien aimé se reposer un peu, prendre un peu de bon temps avant de repartir au combat.
Seulement l’ennemi n’attend pas et les ordres sont les ordres.
Revoilà donc notre cher commando au beau milieu d’une planète artificielle et plate à la recherche d’un émissaire perdu.
Après « Le faucheur » et la surprise d’un roman complètement dingue, je pensais que David Gunn ne me la referait plus.
Que cette narration à la première personne du singulier si particulière et si dérangeante au premier abord n’allait plus me surprendre.
Et bien si !
Soumis par Bruno Peeters le ven, 01/05/2009 - 19:59
Les amateurs de fantastique rural vont être gâtés : voici un recueil de contes qui sent bon la terre, la campagne, les bêtes, le Diable... L’auteur nous était déjà connu par le récit titulaire, paru dans le Codex Atlanticus n° 17. Récit reprenant un vieux thème de contes, celui de l’ogre.
Soumis par Equipe Phenix le jeu, 30/04/2009 - 18:23
Soumis par Equipe Phenix le mer, 29/04/2009 - 19:25
Il faut approcher de ce texte avec une ombrelle de taffetas gris perle, un gros lapin blanc à moustache et à horloge, et dans un sac à main Liberty, juste deux sachets d’Earl Grey royal Ceylan, cousus à la main par des orphelines taïwanaises aveugles. On permettra tout au plus aux grands nerveux de siffloter quatre ou cinq notes d’un one-step aussi langoureux qu’oublié. Sinon, pour tous, le zen est de rigueur.
Comme à chaque fois que l’on s’approche d’un temple vaudou pour participer à un énième sacrifice humain (ouaip, les gros ne crient plus autant qu’avant).
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