Critiques

  25 histoires toutes bizarres et surtout toutes sans réelle fin. « Après le fléau » est presque « Je suis une légende », « Téléréalité » l’exhibitionnisme sur le net, « Des cieux bienveillants » parle des peurs et phobies en avion, « Le grand garage » d’une panne de voiture, « Pluie de sang » est résumée dans son titre, « Le champion » d’un championnat de gros mangeurs qui comme sur un ring, engouffrent les aliments comme les boxeurs, les coups…

Ouvrez les yeux sur cette jeune fille au sourire mélancolique. Regardez-la écrire sur son cahier. N’est-elle pas belle ? Oh, elle vous parle. Ca y est. Vous avez échangé deux mots, puis trois. Son sourire vous bascule. Vous ne pouvez résister. Vous sortez avec elle. Restaurant, café, une soirée entre amis. De simple inconnue, elle est devenue cette fille complice avec laquelle vous partagez tout. Quand elle n’est pas là, vous n’existez plus. Si ce n’est pour attendre son retour à la sortie de l’université.

Roma aeterna est un livre différent, qui ne possède pas d’intrigue à proprement parler. Il s’agit en effet d’une uchronie couvrant plusieurs siècles. Ici, pas d’éléments tirés de la fantasy (magie, elfes…), pas de phénomènes fantastiques ou d’invention futuriste. Non, Silverberg propose simplement le récit du monde tel qu’il serait peut être devenu si l’Empire Romain n’avait pas été détruit.

Mais qui a tué Angelina Jolie alors qu’elle s’apprêtait à faire la promotion d’un nouveau parfum appelé « Enfer » ? Aube est une multinationale des produits de luxe (beauté, parfums) qui lance son dernier produit, après quelques actions en bourse qui ont fait grincer des dents (comme l’achat de Sable Noir). Derrière tout cela, un empire du non-respect, de la luxure et de l’appat du gain. Le genre qui ne respecte pas l’humain mais ce qu’il paraît être. Diane Harpmann, ex-mannequin devenue journaliste, est entraînée dans ce tumulte et décide de faire la vérité sur le tout.

  Année 1935, Adolf Hitler est sur le point de conquérir le monde. Mais avant, il part pour l’Espace. Là-haut, il autre en contact avec une étrange civilisation extra-terrestre. Avec elle, il a désormais le pouvoir de vaincre le terrifiant ennemi américain. Sa mission pour y parvenir, rassembler les crânes de Cristal. Mais c’est sans compter la Lucha Libre, ces catcheurs mexicanos qui veulent sauver le monde. Le dernier crâne de Cristal est proche. Une lutte sans merci attend nos héros.

Georgina Kincaid est une splendide femme, sans âge ou plutôt, elle ne fait pas son âge ! Elle a plus de 1800 ans ! C’est un succube, un démon femelle qui recueille les âmes des mortels en échange d’une relation sexuelle inoubliable. Son patron est un démon de Seattle et parfois, il est trop bavard et raconte les missions de Georgina autour de lui. Et ça, elle n’apprécie pas ! Qu’on rie d’elle en démone avec fouet et ailes…

Le chaînon manquant   La vallée des hommes perdus

Lord Asthmus n’en peut plus de tous ces charlatans qui débarquent dans son château. C’est bien simple, son armoire déborde de lotions toutes plus inutiles les unes que les autres. Du coup, lorsque les docteurs Holewright et Cachey arrivent chez lui, il n’a que faire de leurs explications stupides, et encore moins de leur prétendue maladie où t’es malade sans être malade. Comment ils l’appellent déjà ? Euh.... L’asthme ! Oui, c’est ça !

Charlie est toujours « prisonnier » de l’Institut Bloor, cette école d’art qui accueille les descendants du Roi Rouge. Dans le volume 2, il rencontre Henry, son arrière-grand-oncle qui a été victime d’une bille magique qui l’a fait voyager dans le temps. Mais son pire ennemi, Ezekiel Bloor est toujours en vie et veut finir de se débarrasser d’Henry. La bande de copains va se souder pour utiliser les pouvoirs des uns et des autres (Tancrède la tempête, Emma qui devient un oiseau…) afin de sauver Henry et de lui offrir une nouvelle vie.

Le Trop est l’ennemi du bien, et Grégoire Hervieu a voulu en faire trop, en truffant son livre d’informations sur la réalité de certaines choses (à la limite de la dénonciation type Théorie du complot), en construisant un site fort complet sur zen-city (www.zencity.fr) ... Du coup, l’intérêt quitte le roman, d’autant plus que malgré quelques bonnes idées, le roman souffre de faiblesses d’écriture. Au nombre des bonnes idées, je mettrai celle de faire démarrer le récit par des entrées du blog du narrateur, puis le continuer par un journal sauvé sur clé USB, par exemple.