Critiques

Tarbes. En moins de deux ans, onze jeunes femmes ont disparu. Depuis, ni demande de rançon ni revendication. Jusqu’à ces derniers jours, où, l’un après l’autre, leurs corps sont retrouvés sur les lieux mêmes de leur disparition.

Voila un livre dont la lecture devrait être réservée aux afficionados de Dick, ceux qui ont déjà lu sinon tout, au moins l'essentiel de son œuvre.

Enzo voulait changer de vie. Nouvelle ville, opportunité professionnelle inespérée, logement tout juste rénové, il avait pourtant tout pour repartir du bon pied.Mais les hallucinations se multiplient et perturbent son quotidien. Bruits inquiétants et inexplicables dans les murs, parfum suranné qui hante son appartement… Jusqu’au jour où son voisin meurt dans des circonstances étranges.Non, ce ne sont que de terribles coïncidences. Aucun rapport avec l’hôtel abandonné accolé à l’immeuble, ou les cauchemars qui rongent ses nuits.Rien qui ne puisse s’expliquer de manière rationnelle… Pas vrai ?

Ce roman, présenté comme un conte dont le conteur sera identifié à la fin du récit, s'inspire des sagas irlandaises et norroises, et peut-être aussi des tragédies grecques.

Dans cette intégrale qui reprend les deux romans, Les portes d'Occident et Les aigles d'Orient, nous suivons l'épopée de Wang, jeune Chinois né en Pologne, pour détruire le REM, le rideau électro-magnétique qui isole les quelques pays d'Occident qui ont échappé à la conquête par les armées russo-chinoises ou par la Nation de l'Islam. En ce début du vingt-troisième siècle (la 4° de couv.

Une héroïne d’enfer !

Ce volume réunit un certain nombre de récits supposés se passer dans une cité appelée Ambregris, cité dont tant l'ambiance que l'histoire comporteront maintes incohérences entre les différents textes, lesquels sont présentés de façon variée (les pages des « documents » proposés en annexes étant non numérotées ou numérotées de façon indépendante de celle des premiers récits).

Début octobre sort le nouveau roman de Clarence Pitz. Les retours de lecture tombent plus rapidement que des Sioux à la bataille de Little Bighorn. Je ne me souviens pas avoir vu un tel déferlement d’enthousiasme concernant un roman.

Dans un futur plus ou moins probable, où la Terre devient progressivement inhabitable et où aucun monde de repli n'existe, les humains doivent cohabiter avec des bots post-Singularité. Et des vaisseaux spatiaux sont envoyés à travers la galaxie pour ensemencer des planètes susceptibles d'être terraformées.

On ne lit pas ce roman sans avoir lu les précédents épisodes et sans connaître Tem, ou plutôt Temple Sacré de l'Aube Radieuse, le détective des précédents épisodes des Futurs mystères de Paris, et son pouvoir-infirmité, le fait qu'on ne le voit pas ou qu'on l'oublie. Pouvoir qui, à la fin de l'épisode précédent, a disparu.