Tête sous l'eau (La)

Quand mon père est ressorti du commissariat, il avait l'air perdu. Il m'a pris dans ses bras et s'est mis à pleurer. Un court instant j'ai pensé : ça y est, on y est. Léa est morte.Puis il s'est écarté et j'ai vu un putain de sourire se former sur son visage. Les mots avaient du mal à sortir. Il a fini par balbutier : "On l'a retrouvée. Merde alors. On l'a retrouvée. C'en est fini de ce cauchemar."Il se trompait. Ma soeur serait bientôt de retour mais nous n'en avions pas terminé. J'ai beaucoup aimé la plume de l'auteur, introspective et très imagée.

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Testaments (Les)

30 ans après le premier volume et alors que la série éponyme est toujours en production, voici la suite de La servante écarlate. Soyons claire de suite : lire ce volume sans avoir ni lu le livre ni vu la série, cela ne permet pas de saisir tous les enjeux et les subtilités. Quinze ans après les événements de La servante écarlate, le régime théocratique de la République de Galaad a toujours la mainmise sur le pouvoir, mais des signes ne trompent pas : il est en train de pourrir de l'intérieur.

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Michel Audiard le livre petit mais costaud

Scénariste et réalisateur, Michel Audiard reste le dialoguiste numéro 1 du cinéma français. Ses répliques spécialement écrites pour ces monstres sacrés que furent Jean Gabin, Lino Ventura ou encore Jean-Paul Belmondo, font aujourd'hui partie intégrante de notre patrimoine culturel.

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Carbone modifié

XXV° siècle. l’espèce humaine a colonisé l’espace. Chaque personne est désormais dotée d’une pile insérée à la base de la nuque et contenant la totalité de leurs données mémorielles. Les plus riches se sont affranchis de la mort en se faisant réenvelopper dans des clones plus jeunes dans lesquels on a injecté une copie de leur mémoire. Les condamnés peuvent perdre leur droit à user de leur propre enveloppe corporelle, qui peut être louée à des personnes aisées.

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Zebraska

Martin Leroy, quinze ans six mois et vingt-deux jours, vient de recevoir un étrange cadeau : un paquet de feuilles reliées. Il croit d’abord à une farce – on ne lit plus de livres en 2050 –, mais lorsqu’il découvre sur la première page la dédicace À mon petit zébron Marty, il est pris d’un véritable tremblement.

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Lectio letalis

Paris. Un assistant d’édition tout juste embauché se tranche les veines à la lecture du premier manuscrit qui lui est confié. C’est la troisième fois, en quelques semaines, que le même scénario-suicide se produit dans cette maison d’édition. Bordeaux. Le lieutenant Gabriel Barrias, ancien indic devenu flic, enquête sur l’assassinat atypique d’un psychiatre massacré par un rapace, dans son cabinet, en pleine consultation.

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Fabrique des salauds (La)

Un "Forrest Gump" à la sauce nazie, dans une ambiance proche des "Bienveillantes" de Jonathan Littell, porté par une écriture à la John Irving.

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Adversaire (L'), Haut-Royaume T4

4e opus de la série, impossible de le lire séparément. On retrouve Lorn, unique survivant de la bataille où le Haut-roi est expressément arrivé trop tard pour sauver la garde d’Onyx. Lorn est débarrassé de l’Obscure, à la fois force et faiblesse. Il se cache de la vengeance du Haut-Roi et projete de l’assassiner, mais il n’en a pas le courage.

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Théo super-héros de la nature : les insectes

Théo est un petit garçon ordinaire de 10 ans à qui il arrive quelque chose d’extraordinaire : parce qu’il a sauvé le vie de deux limaçons dans une salade, le voilà capable de comprendre et de parler aux insectes et aux oiseaux, mais aussi de se rendre minuscule pour les rejoindre dans leur univers. Il est désormais investi d’une mission de la plus haute importance : sauver la nature contre les pollueurs !  

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Prince d'été (Le)

Je m’attarde régulièrement du côté des publications dites « Young adult » qui, si on sait bien les choisir, peuvent se révéler surprenantes. Le début de l’âge adulte est prétexte à tous les changements, les bouleversements, cadre d’une littérature souvent addictive, touchante et divertissante. La collection R de Robert Laffont est pour moi une valeur sûre, très loin des clichés du genre, et proposant des choses très originales.  Je me suis donc récemment replongée dans Le prince d’été, un titre que j’avais adoré à sa sortie.  

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