Mémoire

Vaisseaux du temps (Les)

Une suite osée

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Grand secret (Le)

Barjavel n’est pas vraiment un auteur de science-fiction. Ses oeuvres de jeunesse, Le voyageur imprudent et Ravage relèvent incontestablement du genre. Mais, il délaisse ensuite les rivages de l’imaginaire pour se consacrer à des histoires diverses, autobiographies, relectures de vieux mythes, policiers, histoires d’amour... C’est un auteur polymorphe, éclectique, total. Il revient cependant régulièrement à ses premières amours en signant, entre autres, La nuit des temps, Une rose au paradis et Le grand secret.

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Planète d'exil

L’histoire L’action se situe sur une planète au nom inconnu (même si la quatrième de couverture nous clame qu’elle se nome Eltanin...), peuplée de tribus primitives organisés en villages. Côté technologie, ces tribus en sont à peu près au niveau des Indiens d’Amérique, à ceci près qu’elles construisent des abris d’hiver en pierre et qu’elles n’ont pas encore découvert la roue (un chariot est décrit comme une « caisse à pattes rondes », p. 158).

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Polytan

L’histoire Polytan est le second volet du cycle de Cybione, mais peut se lire indépendamment du premier tome. En effet, si le premier volet, Cybione, est un polar survitaminé mettant en scène un flic traquant la dite Cybione (CYbernétic BIologic cLONE), le second relate une mission de la belle Cybione, Elyia, sur la planète Cinq-Tanat.

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Jeu cruel (Un)

La souffrance. Il est rare qu’elle soit ainsi au centre d’un roman de SF... C’est celle d’abord de Miner Buris. Il a été enlevé par des extra-terrestres qui ont modifié la plupart de ses organes dans un but aussi sadique qu’incompréhensible. Miner est désormais un monstre dont les organes lui occassionnent souffrance et désagréments. Mais sa souffrance est avant tout sociale et psychologique, lui que personne ne veut plus voir, lui-même y compris.

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Printemps russe (Le)

21 juillet 1969, des hommes marchent sur la lune pour la première fois. Un enfant regarde la diffusion de l’événement en direct à la télévision et décide qu’il fera pareil. Qu’il ira dans l’espace...

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A propos de « Barbarella »

Inspirée par la bande dessinée de Jean-Claude Forest, « Barbarella », que réalise Roger Vadim en 1967, est et restera la pochade érotico-cosmique de référence. Dans le désert estival des chaînes hertziennes, il faut rendre grâce à Arte d’avoir programmé ce superbe « nanar » mardi 10 juillet – en prime time ! -, pour la première fois à la télévision française.

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Les chiens

On connaît bien sûr « Demain les chiens » de Clifford D. Simack, et son postulat de l’espèce canine remplaçant les humains sur la Terre suite à toutes sortes de péripéties. Mais en 1979, sortait le film d’Alain Jessua « Les chiens », qui par bien des côtés, s’apparente au fantastique, voire à la S-F. Avec en tête d’affiche, Alain Depardieu et Victor Lanoux qui ne sont pas a priori coutumiers de ces deux disciplines, ce film traite du syndrome sécuritaire et de toute ses dérives.

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Orphée

On sait que la mythologie grecque a toujours inspiré beaucoup d’auteurs de littérature fantastique. Tout près de nous, on peut d’ailleurs citer Menolly, Mélanie Fazi ou Estelle Valls de Gomis.

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666 la malédiction

Un soir que je voulais me faire une bonne frayeur de derrière les fagots, j’ai loué le remake du film qui m’a fait vraiment flipper.

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