Critiques

Le cycle du Rêve du Démiurge commence à se structurer, puisque ce roman présente la rencontre de personnages qui avaient déjà été l’objet d’oeuvres antérieures, Nuit de colère, Hadès Palace et Le Petit Cabaret des ombres. Et c’est avec plaisir que nous retrouvons Kantor, qui va devoir recouvrer son pouvoir de pénétrer dans l’esprit des autres pour soigner Alvar le Gitan, possédé par cinq des esprits qu’il présentait au Cabaret. Et si le Démiurge n’apparait que dans une invocation de Kantor, il faudra bien tôt ou tard qu’il entre à son tour en scène.

Non ce n’est pas un Honor Harrington. Oui cela se passe dans le même univers qu’Honor Harrington. Et oui, elle apparait dans le livre. L’ombre de Saganami, de David Weber, se passe en même temps que « Coûte que coûte ».

L’autre jour, je vais chez mon libraire préféré et nous bavardons, devinez quoi ? De bd, pour changer. Il me parle d’un ouvrage de Neil Gaiman, mélange de livre illustré et de bandes dessinées pour la jeunesse. « Des loups dans les murs » indique la couverture - superbement illustrée au passage. Je me procure l’objet et tranquillement vautré dans mon canapé, je parcours l’ouvrage.

Un peu hors sujet ? J’ai bien chroniqué Le Dérèglement du monde de Maalouf récemment, qui propose aussi une réflexion sur notre monde actuel, dans un regard que tout lecteur de SF doit avoir et a, normalement. Je ne le ferai pas long, tout comme l’auteur.

Une non contaminée, voici ce que Keira est devenue. Trimballée à travers les vestiges d’une Angleterre post-apocalyptique, elle suit le troupeau. Un troupeau de femmes, venues de tous horizons et que des hommes emmènent elles ne savent où. Peu importe, le seul objectif de Keira est de se faire discrète, jusqu’à l’option « évasion ». Pendant ce temps, Lawrence quitte la Grande Bibliothèque, à sa recherche.

Gudule est une petite fille, cachée dans un corps adulte, qui murmure aux oreilles des enfants… En grandisant , juste assez mais pas trop, elle continue de se pencher pour raconter aux plus jeunes des contes soit à faire peur soit à rêver. Et on sent que Gudule raffole de la sagesse populaire !

Frey est le capitaine de la Ketty Jay, un aéronef amélioré, ce qui constitue son seul sujet de fierté. Porté sur l’alcool, ses aventures féminines sont sans lendemain tandis que ses affaires ne vont pas très forts. Commerce, trafic ou petite piraterie, Frey s’est essayé à tout, sans gloire. Peu chanceux, il est accompagné d’un équipage fait de bric et de broc, dont chaque membre cache un passé qu’il préfère oublier.

Cette année, la colonie d’été des Sangs-Mêlés est menacée : on a empoissonné l’arbre Thalia, la magie n’y fonctionne plus bien et la direction a été ôtée à Chiron, remplacé par Tantale. Mais une solution s’offre aux jeunes héros, demi-dieux : retrouver la Toison d’Or dans la mer des Monstres et sauver Thalia. Percy est en connexion psychique avec Grover, son ami satyre. Grover est prisonnier sur l’île du Cyclope (le même que celui d’Ulysse) : le cyclope aveuglé est amoureux de lui et veut l’épouser.

Le peuple drenaï est à l’agonie. Les Ventrians, profitant de la désastreuse politique militaire menée par le Roi de Drenaï, ont attaqué et envahi le pays. Quelques poches de résistance subsistent néanmoins, malgré le peu d’espoir pour l’avenir. Lorsque le Roi est assassiné par un homme armé d’une arbalète de poing, Waylander devient un traître à sa nation. L’assassin est alors pris de doute sur la justesse de ses actes, mais son destin le condamne à lutter, pour sa survie et celle du peuple drenaï.

  Sookie est une jeune femme qui n’arrive pas à vivre complètement comme les autres. Son handicap ? Elle est télépathe. Imaginez donc un rendez-vous amoureux où vous entendriez toutes les pensées de votre partenaire y compris celles salaces qui échappent parfois à tout contrôle lors d’une poussée d’hormones...