Critiques

Dès les premières lignes, nous sommes aussitôt plongés dans les aventures d’Aléa, une orpheline de treize ans et d’Imala, une jeune louve blanche, sur le territoire énigmatique qu’est l’île de Gaelia. Tandis qu’Imala met au monde sa première portée et est rejetée par la femelle dominante de son clan, Aléa vit de menus larcins dans la bourgade de Sarratea du comté de Sarre. Deux destins croisés dont le lien les unissant ne sera connu qu’au tout dernier moment.

Toussaint a survécu à ses blessures. C’est le vieux Doc Alex qui l’a recueilli, puis soigné. Doc Alex est un humaniste. Quand il a entendu Aristide parler de son grand projet écologique - détruire la base et tuer tous ceux qui voudraient entrer en contact avec la Terre, ceci afin d’épargner à la planète une colonisation qui lui serait fatale - le Doc a préféré s’isoler dans la forêt. Notant tout sur son carnet, il étudie depuis des mois les insectes et la végétation. Il a d’ailleurs fait une grande découverte qui mettra fin aux illusions d’Aristide et ses partisans.

Et si les émeutes qui ont secoué la France en fin 2005 avaient été fomentées par des extrémistes adeptes du surnaturel ? Face à cette menace qui se matérialise sous la forme d’un Djinn (pas un 501 !), notre héros, Nathan, quémandera l’aide d’un Gollem. (Et pas Gollum qui n’a rien à faire dans cette histoire, mais alors rien à faire.) Et voilà, c’est tout.

Désormais, Georges Rainette se fait appeler Georges Frog. Ca swing mieux, se dit-il. Du coup, il débarque tout pimpant chez un producteur qui s’intéresse à ses chansons. Le contrat est presque signé, lorsque ce dernier demande à Georges quelques modifications. "Comment ?" s’insurge notre ami grenouille. Furieux, il déchire son contrat et claque la porte de la production. En sortant, il fait la connaissance d’un beau saxo, seul, abandonné sur le mur du hall d’entrée. Georges sympathise avec l’instrument, puis s’enfuit avec.

Après nous avoir livré deux films très personnels (La Maison Des 1000 Morts et The Devil’s Rejects), Rob Zombie s’attaque, cette fois-ci, carrément à un monument du genre : LE Halloween de John Carpenter, film d’horreur par excellence qui est à l’origine même du "slasher movie".

Le jeune et fringant prince Tamino, fils d’un roi lointain, s’en va passer des épreuves initiatiques dans l’empire d’Atlas-Alamesios. En chemin, il rencontre la Reine des Etoiles, qui lui montre le portrait de sa fille Pamina, enlevée par le méchant sorcier Sarastro, et l’enjoint de la délivrer.

Deux en une Dans la peau de sa fille

Recherche Alice désespérément Résurrection

25000 ans après Jésus-Christ, l’humanité dans la diversité de ces évolutions... L’humanité toujours en guerre. Une guerre millénaire pour la conquête de la galaxie, une guerre contre un ennemi méconnu, inconnu, une guerre qui est un moteur de l’économie, de la survie… Une guerre qui est le début et la fin de tout… Dans ce roman touffu mais dont on sort époustouflé par le voyage et les diverses dérives d’étoiles en étoiles, d’évolutions en révolutions, nous suivons quelques enfants-soldats.