Soumis par Equipe Phenix le dim, 07/10/2007 - 21:31
Le roi est mort, vive le roi ! A la mort de son père, Tengiz devient le nouveau roi de l’empire du dragon à la toison de feu. Rapidement, il doit faire face à la trahison de ses frères qui prétendent tous les deux au trône. Tengiz n’est qu’un poète à leurs yeux. Un empire ne peut être gouverné par un homme de lettres. C’est un privilège que l’on réserve aux guerriers qui ont fait leurs preuves, prétextent-ils. Seulement, ce trône, Tengiz ne l’a pas choisi. Cette décision émane de son père et il a le soutien du mage le plus respecté de l’empire, le vénérable Balkhan.
Soumis par Josèphe Ghenzer le dim, 07/10/2007 - 12:38
Peur sur la ville Femme sans loi
Soumis par Véronique De Laet le sam, 06/10/2007 - 22:27
En pleine bataille navale, un vaisseau anglais capture une frégate française. A son bord, un oeuf, énorme, un oeuf qui a commencé à durcir, ce qui, selon le médecin de bord, veut dire que le dragon est prêt à éclore.
Oui, mais ... Quoi ? Il faut désigner un navigateur parmi le personnel du navire ? Un homme dont la vie va être bouleversée car il va partir dans une sorte d’ermitage, rejeté par les siens, par ses pairs car avoir un dragon est presque une tare.
Soumis par Equipe Phenix le ven, 05/10/2007 - 21:31
Que savons-nous vraiment de nos voisins ? Après tout, nos uniques contacts avec eux ne se limitent-ils pas à des regards croisés ? Derrière ces regards, nous imaginons généralement le pire. Comme ce vieil homme, dans l’immeuble d’en face, qui espionne ses voisins avec sa caméra numérique. A ses yeux, Sophie et Max sont des inconnus. Ils les voient se disputer, alors pour lui c’est un couple dont l’idylle vacille. Vivien, autre inconnu, est l’amant de la jeune femme. C’est certain, se dit le vieil homme, il suffit de voir combien de fois il traîne avec elle.
Soumis par Franck Boulègue le jeu, 04/10/2007 - 22:32
Comment s’y prendre pour concilier « Space Opera » et Théorie Générale de la Relativité ? Dans un Univers « einsteinien » (qui, à l’heure actuelle en tout cas, et ce jusqu’à tout nouveau développement de la science, est toujours le nôtre) où la vitesse de la lumière constitue la barrière supérieure pour tout déplacement, comment écrire des histoires traitant de trajets intersidéraux ? Si un vaisseau voyageait seulement ( !) à la moitié de la vitesse de la lumière, il lui faudrait déjà plusieurs années pour rallier l’étoile la plus proche de notre Soleil.
Soumis par Equipe Phenix le mer, 03/10/2007 - 21:30
Soumis par Christophe Corthouts le mar, 02/10/2007 - 23:00
Ah, encore un auteur, belge qui plus est, que je n’avais pas encore eu le temps de découvrir ! Mais avec un titre pareil et une intro qui s’avère en phase totale avec mon expérience d’accro à la VHS, je ne pouvais pas passer à côté de cette petite perle d’humour noir bourrée de références.
Soumis par Equipe Phenix le lun, 01/10/2007 - 18:19
Léopold mène une vie paisible dans la Meuse. Il habite le joli petit village de Beau Rivage. Il parle pêche avec Jonas et pêché avec Monsieur le curé. Il y a aussi Emilie qui a perdu son chien, Simoniz le garagiste et un peu plus loin, le marchand de tabac. Mais ce que Léopold préfère, c’est le soir. A la nuit tombée, sa voisine danse devant sa fenêtre. Son ombre se projette sur le mur et lui, il la photographie, en rêvant du jour où il osera lui déclarer sa flamme.
Soumis par Equipe Phenix le dim, 30/09/2007 - 22:45
Ce livre, je l’ai acheté (shame on me !) pour son packaging. Il est tout simplement impressionnant. Un pavé noir que l’on remarque de loin. Qui intrigue. Un peu comme le monolithe de 2001, l’Odyssée de l’Espace (pour ceux qui se souviennent encore de ce qu’était le cinéma). Et qui fait rêver tout autant. On s’en approche, on le soupèse, on le feuillette. On s’envole vers l’ailleurs des contemplations.
Soumis par Equipe Phenix le dim, 30/09/2007 - 18:16
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