Tout sur le zéro

Pierre Bordage ne se lance pas dans un traité de mathématique : il explore le monde particulier des joueurs de casino !

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R.I.P Harry Dean Stanton 14 juillet 1926/15 septembre 2017

Je me souviens de lui notamment dans le rôle du mécano râleur dans le « Alien » de Ridley Scott. A son registre, figurent, « Paris,Texas », « Christine », « New-York 1997 », j’en passe et des meilleurs. Aussi dans « Mon oncle Charlie » au côtés de Charlie Sheen et Sean Penn dans une discussion philosophique de quatre mecs bourrés hilarante à souhait. Harry Dean Stanton est parti pour d’autres cieux : LV-426 peut-être … Toute l’équipe de Phénix se joint à moi afin de présenter à sa famille et ses amis nos plus sincères condoléances.

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Grève infernale

Dans ce court roman de fantaisie fantastique paru en 2014, qui inaugure la nouvelle collection Rechute des éditions Goater, Norman Spinrad imagine que quelques leaders syndicaux plus ou moins mafieux américains, se retrouvant en enfer, imaginent d’utiliser leurs méthodes de propagande pour syndiquer et mettre en grève non seulement les damnés mais aussi les démons. Démons qui, après tout, sont eux aussi victimes des cadences infernales (le mot n’a certainement jamais été aussi approprié) imposées par le Grand Patron de l’Enfer, Satan.

Bête d’Alaska (La)

Lincoln Child est né en 1957 dans le Connecticut. Depuis Relic (1995), il forme avec Douglas Preston l’un des duos d’auteurs les plus connus du suspense. Ensemble, ils ont signé une vingtaine de romans, dont 16 mettant en scène l’inspecteur Aloysius Pendergast du FBI, le Sherlock Holmes des temps modernes. Parfois Lincoln Child écrit en solo. 4 romans à ce jour ont été édités : Deep Storm, La bête d’Alaska, La troisième porte, Projet Sin.  

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Forteresse

Même si la critique, répétée par tous les personnages, de l’idée selon laquelle la pensée de gauche et ses dérives « politiquement correctes » désignées sous le nom de Correction, serait responsable du pourrissement de la démocratie et de sa mort à venir, semble faire de ce roman une œuvre de propagande « néolibérale », le monde post-cataclysmique que présente Georges Panchard, avec ses méga corporations aussi puissantes que des états, les États-Unis devenus, pour l’essentiel, l’UABS ultrareligieuse, et les mafias aussi puissantes que les états et les corporations, est clairement un décor cybe

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Nutty Dragons

Je ne suis pas un adepte confirmé de ces créatures volantes crachant feu à tout vent. Les dragons sont pour moi des gardiens de trésors, de lieux sacrés ou de portes d’autres mondes comme leur nom l’indique. Il y a un film qui à mes yeux a redoré leur blason. À l’époque, quelques nanars et d’autres films pré pubères signés Disney ne m’avaient pas convaincu. Le règne du feu, un film simple, basique, mais efficace. Christian Bale et Matthew McConaughey étaient plutôt convaincants, l’un dans son rôle de protecteur, l’autre dans celui du taré.

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Spectres d’Eiffel (Les)

Dans ce court roman fantastique, qui met en scène la Tour Eiffel, ses amoureux, ses légendes, le narrateur raconte certaines expériences psychiques qu’il aurait eues sur la tour et comment, en enquêtant sur ces phénomènes, il rencontre d’autres personnages surprenants. Très amusant et poétique, ce conte nous fait regretter notre vision trop prosaïque de Paris...  

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Commutants (Les)

Les commutants, ce sont ceux qui, comme le héros du livre, Kal, partagent leur temps entre deux mondes, dont l’un au moins est virtuel. Kal, technicien réseau dans une mégalopole dystopique cauchemardesque dans laquelle il est nécessaire de multiplier les opérations illégales pour se payer les meds qui permettent de survivre, commute donc avec un monde de fantasy dans lequel il est le plus grand chasseur et guerrier, mais part à l’assaut du pire monstre de cet univers, Zmei.

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Sang maudit

Aujourd'hui, je vais vous parler d'un livre un peu spécial. Qui m'a immédiatement attiré, que ce soit par sa couverture, son résumé ou encore la réputation de ses auteurs. Je remercie évidemment les éditions Castelmore de m'avoir permis d'en découvrir le contenu.   Résumé :

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After Anna

Après un départ paraissant tranquille avec un état des lieux discret, mais efficace, ce thriller haletant s’accélère subitement. Ensuite, il ne vous lâche plus. De bout en bout, ce roman m’a emmené dans un dédale où je me sentais non pas perdu, mais contraint de suivre l’idée directrice.   Pour le scénario, difficile de vous proposer quelque chose de concret sans dévoiler un ersatz de l’intrigue. Un petit conseil, laissez-vous emporter par ce roman doté d’une histoire bien tordue. Évitez même le quatrième de couverture qui, pour moi, est déjà trop chargé et flirte avec le spoiler.  

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