Critiques

Toy Story 3

Le tournant de la vie Le déménagement

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Orphelins du Mal (Les)

Quatre mains droites momifiées dans une mallette. Voilà ce qu’a reçu Vidkun Venner, riche collectionneur norvégien fasciné par l’art nazi. Pour découvrir qui a pu lui envoyer ce macabre colis, il fait appel à Anaïs, une jeune journaliste parisienne. Très vite, leur enquête les mène vers les Lebensborn, véritables haras humains où les scientifiques SS faisaient naître de petits aryens pour réaliser leur rêve dément d’une race pure. Une race qui n’a pas dit son dernier mot. Et continue, orpheline, à faire couler le sang et les larmes...

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Bohème

Esprit de vengeance (L')

Après un violent prologue meurtrier, Gwenn Aël, jeune auteure normande, nous lance sur la trace de Glawdys, femme fragile, qui nourrit une grande affection pour sa grand-mère, supportant de douloureuses tensions familiales, cristallisées autour d’une tante haïssable. Hantée par des rêves, elle ressent fréquemment une ’Présence’ mystérieuse. Un jour, elle sauve de la mort un petit garçon victime d’un accident de roulage. Elle le ramène en allant le chercher sur le chemin vers la Lumière, bien connu des adeptes du « Near Death Experience ».

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De fièvre et de sang

Eva Svärta est une profileuse, la trentaine, belle mais albinos. Très féministe et féminine aussi, avec des blessures énormes à l’âme. Elle et le commandant Vauvert sauvent une jeune fille des griffes de deux frères débiles, vivant dans une ferme isolée. Mais les signes du mal sont déjà là et des ombres de loups peuplent la ferme maudite. Rentrée sur Paris, la jeune femme apprend que le prétendu meurtrier décédé n’est pas mort : il a laissé des traces de son sang sur une balle tirée à travers un loup qui attaquait le commandant Valvert qui était retourné sur les lieux.

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Légende de la pierre sacrée, Sheendara T1 (La)

La Légende de la pierre sacrée C’est une guerrière, à la crinière flamboyante et au regard d’un vert limpide. Oryann a mis son épée au service du sage Enk, qui dirige la paisible bourgade d’Erun. Mais la jeune femme n’est pas totalement heureuse : son esprit est vide de souvenirs, et seules les dernières années vécues lui sont accessibles. Pour oublier, elle plonge régulièrement dans une mélancolie douloureuse provoquée par l’excès d’alcool. Lors d’une visite chez son amie Kelnyann, l’arrivée d’un homme amnésique va bouleverser sa vie.

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Havre Sombre, Chroniques du nécromancien T3

Jonmarc est désormais le Seigneur de Havre Sombre, un domaine où les humains côtoient les vayash moru et leur Cercle de Sang. Ses membres soutiennent la trêve entre les deux espèces sauf Uri, un vayash moru pervers et vicieux, qui ne se résigne pas à être dirigé par un mortel. Il multiplie donc les menaces et les provocations, entouré des siens. Jonmarc est en position difficile mais la joie de revoir Carina au mariage de son ami Tris lui laisse espérer des jours meilleurs.

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Dracula et autres chefs-d'oeuvre

Non, Dracula n’est pas le seul chef-d’oeuvre de Bram Stoker (1847-1912), voilà ce que cet imposant Omnibus tente, et réussit, à démontrer. Certes, ce roman de 1897 aura tout fait pour la gloire de son auteur, et il forme une balise éternelle dans la grande trajectoire du fantastique littéraire. Il était dès lors bon de le retrouver, ici dans l’excellente traduction de Jacques Finné.

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Bifrost n°58

Excellent numéro dominé par un dossier fourni, consacré à Laurent Genefort, figure ô combien incontournable dans l’actuelle SF française. L’auteur d’Omale se révèle direct, exempt de toute langue de bois, franc dans son long interview, tout à fait passionnant. Sa nouvelle, Rempart, débute par une idée fracassante : des extraterrestres arrivent sur la Terre par des ’Bouches’, sorte de portes à sens unique, pour repartir incontinent par d’autres ’Bouches’ vers leur destin. En quelque sorte, ils ne font que passer. Mais certains restent, évidemment.

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Cinquième sorcière (La)

Le nouveau roman du maître écossais de l’horreur nous entraîne à Los Angeles, une cité qui n’a d’angélique que le nom. Les massacres les plus révulsants se succèdent en effet au fil des pages de ce livre à l’efficacité redoutable. Masterton n’a rien d’un visionnaire. A la différence d’un Clive Barker, par exemple, il ne réinvente pas le genre dans lequel il officie. Mais il s’acquitte toujours de sa tâche de raconteur avec punch et brio. Cet opus ne fait pas exception à la règle.

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