Soumis par Christophe Corthouts le mar, 06/08/2013 - 07:10
Je l’avoue d’entrée de jeu, j’adore la prestidigitation à grand spectacle, façon David Copperfield. Je sais qu’il y a un truc. Mais de la même façon je sais que Robert Downey Jr n’est pas vraiment capable de traverser le ciel serré dans une armure rouge et or. Cela ne m’empêche pas me laisser porter. Et j’adore le plaisir enfantin que dégage un excellent spectacle de magie. Sans compter l’extraordinaire technique et le travail de préparation qui se cachent aujourd’hui derrière ces shows de grande envergure.
Soumis par Equipe Phenix le lun, 05/08/2013 - 07:37
Ces souvenirs de guerre(s) d’un vétéran doivent venir d’un monde futur, puisqu’il y est fait allusion à des armes anciennes, disparues au moment des récits, comme les « volants », ou à des territoires devenus inhabitables, vitrifiés et infestés de « rads ». Mais le thème de base est la permanence de l’esprit militaire, et particulièrement celle de ses défauts, la hiérarchie qui fait passer l’obéissance avant la compétence et qui condamne le succès quand obtenu de façon non conforme aux ordres.
Soumis par Equipe Phenix le dim, 04/08/2013 - 07:39
Ce roman est le premier succès de Philip K. Dick dans sa longue série de remises en cause de la réalité. Palmer Eldritch revient d’une longue visite aux Proxiens, extraterrestres avec lesquels l’humanité, qui commence à peine à conquérir le système solaire, n’a que peu de contacts. Les colons, généralement envoyés de force dans les colonies de Mars, de Vénus et de quelques satellites, n’ont comme moyen de supporter leur exil qu’une drogue, le D-liss, qui leur permet de se croire revenus sur Terre, incarnés dans des personnages de mondes miniatures créés et vendus par l’industriel Leo Bulero.
Soumis par Equipe Phenix le sam, 03/08/2013 - 07:39
Encore un roman de voyage dans le temps qui heureusement évite les paradoxes temporels, sauf dans l’épilogue. Le héros principal admet qu’on ne peut pas changer le passé. Quant à changer le futur, cela dépend du point de référence qu’on prend...
Soumis par Chris de Savoie le ven, 02/08/2013 - 07:22
Dans la Saint-Malo de 1922, la vie est rude. La brume de guerre apparue après la Grande Guerre ronge le pays. Son origine inconnue accentue la crainte qu’elle fait naître, qui reste cependant moindre que celle inspirée par le Rémouleur, une étrange créature qui sème la mort dans les alentours. A 16 ans, Judicaël survit misérablement avec son grand-père. Sa vie va basculer en quelques jours, quand son grand-père meurt et qu’il rencontre la belle Isabelle.
Soumis par Equipe Phenix le jeu, 01/08/2013 - 07:54
Dans ce roman qui ne fait pas partie du cycle de la Culture, Banks nous confronte avec son ironie habituelle à un univers où cohabitent des formes de vie différentes : face aux Rapides que sont les espèces des planètes de type terrestre, à la durée de vie limitée, les Habitants, espèces presque immortelles et qui se sont répandues dans l’univers depuis des milliards d’années, n’habitent que les planètes géantes, comme Jupiter.
Soumis par Equipe Phenix le mer, 31/07/2013 - 07:23
Il s’agit d’une anthologie, - dirigée par Gardner Dozois, que les Français ne connaissent pas assez, et George R. R. Martin -, de nouvelles écrites par différents auteurs en hommage et continuation des volumes de cette série de Jack Vance. Ce livre, que Vance a pu lire et auquel il a pu inclure une préface, aura donc été son cadeau d’adieu, avant sa disparition. Dire que ces hommages et ces rajouts sont vraiment indispensables serait excessif ; d’abord, pour les apprécier, il faut avoir lu Un monde magique , Rhialto le merveilleux, les deux volumes de Cugel l’astucieux.
Soumis par Chris de Savoie le mar, 30/07/2013 - 07:53
Jonas a douze ans sur l’île de la Tortue, où il préfère escalader les bateaux et découvrir la jungle plutôt que sa salle de cours. Alexia est bien décidée à ramener son frère sur le droit chemin, mais dans sa colère, elle provoque sa chute du haut d’un mat. Indemne mais secoué, Jonas décide qu’il est désormais assez âgé pour décider de sa vie. Il parvient ainsi à s’embarquer sur un bateau comme moussaillon, ce qui marque le début d’une longue série de désillusions et de dangers. Seule sa sœur pourrait être en mesure de le préserver.
Soumis par Marc Van Buggenhout le lun, 29/07/2013 - 07:05
Pour Destination Mars, Marc Bailly avait contacté plusieurs auteurs. Comme il avait déjà lu plusieurs de mes nouvelles, il m’a proposé d’en écrire une, qui plus tard a été retenue. Par la suite, Marc Bailly m’a demandé d’écrire un essai sur Mars dans la littérature imaginaire, avec une contrainte sur le nombre de signes. J’aurais certainement voulu écrire un essai beaucoup plus long et exhaustif, mais les impératifs de l’édition ne le permettaient pas. J’ai dû faire des choix. Curieusement, une partie du texte s’est perdu dans les méandres du Web.
Soumis par Bruno Peeters le lun, 29/07/2013 - 07:04
La belle illustration de couverture de Pierre Le Pivain fait déjà s’envoler le lecteur vers ce monde mythique qu’est Mars : une grande faille rouge, un visage sculpté, un vaisseau, une base illuminée… Mars du passé, Mars du futur se chevauchent. Telles seront aussi les douze nouvelles retenues, qui couvrent, tous styles confondus, les nombreux fantasmes qu’évoque la planète rouge depuis E. R. Burroughs ou H. G. Wells.
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