Critiques

Métro 2033

Trois volumes : Rive gauche (2020), Rive droite (2021), Cité (2022)

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Ville des histoires (La)

C’est la deuxième enquête de John Nyquist, qui a quitté sa ville natale de Soliade et essaie de se faire une nouvelle clientèle à Histoireville, une ville où tout le monde écrit et peut être impliqué dans les récits des autres et où l’Institut est supposé coordonner ces histoires. Paradoxalement, quartiers et rues voire immeubles sont nommés avec des noms d’écrivains du monde « normal », comme si toute cette littérature locale était sans effet... J’aurais aimé voir des écrivains locaux.

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Bleu

Alors qu’une violente tempête se prépare près de Nantes, les météorologues redoutent la conjonction de ce phénomène avec la grande marée d’équinoxe, promesse de crues exceptionnelles. Rapidement, leurs prédictions se révèlent justes et la montée conjuguée des eaux maritimes et de la Loire devient totalement incontrôlable. Mais, plus inquiétant encore, les hôpitaux de la région se retrouvent subitement submergés par des cas d’encéphalite fulgurante qui poussent les malades au suicide. Une situation aussi dramatique qu’inexplicable…

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Peste écarlate (La)

La peste écarlate est un court roman post-apo de Jack London, écrit en 1912 : il envisage l’écroulement de la civilisation moderne et la quasi-disparition des humains à cause non pas de la guerre mais d’une épidémie particulièrement meurtrière à laquelle s’ajouteront, bien sûr, l’égocentrisme généralisé et la haine des humains pour leurs semblables, la compétition exacerbée, pillages et massacres... Le tout est raconté, plusieurs décennies plus tard, par un des rares survivants, adopté par une des rares tribus qui occupent encore les plaines de Californie.

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Malédiction de la famille numéro 4 (La)

Le Poulpe est une maison d’édition qui présente depuis quelques années des romans illustrés pour les 8-12 ans. Ce roman est donc un roman qui se veut pédagogique, mais qui évite le didactisme et le dogmatisme. Il ne s’agit toutefois pas d’enseignement scientifique et le roman n’évite pas certaines incohérences, mais demeure d’une lecture agréable même pour un lecteur plus âgé.  

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Dernier vol (Le)

Claire avait tout planifié pour fuir Rory, homme politique charismatique doublé d'un mari tyrannique.Mais, à la dernière minute, la mécanique s'enraye. Son chemin croise alors celui d'Eva à l'aéroport JFK. Elle aussi a de bonnes raisons de vouloir changer de vie.Et si chacune prenait la place de l'autre ? Les deux jeunes femmes décident d'échanger leurs billets d'avion.Claire s'envole donc pour Oakland au lieu de Porto Rico, où elle apprend, horrifiée, que le vol qu'elle aurait dû prendre s'est abîmé en mer.Claire est désormais Eva aux yeux de tous.

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Temps d’un souffle, je m’attarde (Le)

Dans un futur non précisé, les Humains ont disparu et deux systèmes informatiques, Solcom et Divecom, se disputent la propriété de notre planète et le devoir de l’entretenir. Solcom a créé deux systèmes auxiliaires, respectivement chargés de l’hémisphère Nord et de l’hémisphère Sud. Gel est le premier d’entre eux et il a la lubie de tout apprendre sur l’Homme. Puis, après un défi par un émissaire de Divecom, il lui prend l’envie de recréer l’Humanité en devenant humain...  

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Souterrains du Temps (Les)

C’est une jolie aventure dont le héros, parti à la recherche d’un collègue disparu après avoir commencé à travailler pour l’armée américaine, va découvrir où l’ont mené ses recherches en physique.   Dommage que la couverture lance le lecteur sur une fausse piste : nous ne sommes pas dans Temps X/ Le tunnel du Temps. L’aventure reste beaucoup plus courte et se termine bien pour ses deux héros...   Les souterrains du Temps de Claude Ecken, Ed. du Somnium, 2017, 162 p., 12€, ISBN 978-2-918697-07-0

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Forme de l'eau (La)

Nous sommes en 1963, et Elisa Esposito survit tant bien que mal. Née muette, abandonnée par sa famille, elle travaille de nuit comme femme de ménage au Centre Occam de recherche aérospatiale.

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Un été dans la Sierra

Il suffit de lire la préface de Michel Le Bris pour réaliser à quel point cet écrivain américain d’origine écossaise a contribué à la connaissance de la faune et de la flore des États-Unis. Inlassable voyageur et observateur émerveillé de ce qui l’entoure, John Muir note tout ce qu’il voit avec l’enthousiasme désarmant d’un enfant. À l’époque où le pays est encore libre, il traverse les contrées encore sauvages, le plus souvent sans bagage, se contentant d’un morceau de pain et de ce que la nature peut offrir, à la façon des autochtones et des animaux qu’il croise.

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