Disons-le tout net : cette anthologie ne se limite aucunement à l’évolution du travail, ou plutôt de l’emploi, mais vise toutes les transformations possibles de la société, toutes les formes d’utopies ou de dystopies (y a-t-il vraiment différence entre les deux mots, quelle utopie ne possède pas assez d’aspects négatifs, de « côtés sombres », pour être aussi une dystopie, et quelle dystopie ne conserve pas une lueur d’espoir, que ce soit dans sa chute ou dans son évolution ?).