Camp (Le)

Entre policier et SF, un beau suspense !

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L'ampoule n° 22

Difficile de chroniquer un recueil de nouvelles tant les genres s’entrecroisent. Heureusement, il y a un fil rouge. Ici, les deux premières histoires sont écrites en une prose digne de Victor Hugo. Seulement, on ne s’improvise pas Victor Hugo en écrivant de belles phrases pompeuses. Et surtout, une fin en queue de poire. Dommage, le style était parfait.   Les nouvelles suivantes m’ont vite fait oublier ce début. Elles s’enchaînent à une vitesse vertigineuse.

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Wild Cards

Les univers partagés, dont la plupart sont nés dans les années 80 du siècle dernier et dont certains survivent, sont une particularité de la littérature SF américaine, car je ne vois pas d’exemples dans d’autres littératures. C’est autre chose que les franchises, autre chose que les simples reprises ou partages d’idées. Et la plupart de ces univers partagés sont inconnus du public français : aucune traduction de Theives’ world, le plus ancien d’entre eux ; un seul volume traduit, les nouvelles de Megan Lindholm, pour Liavek. Un seul, le roman de Carolyn J.

Des pas dans la neige. Aventures au Pakistan

Nous ne sommes pas dans un roman mais dans un voyage, un long voyage qu’a fait Erik L’Homme, avec son frère et un ami. Un vrai trip dans l’Himalaya, à la recherche de l’homme sauvage, sorte de yeti de petite taille qui vi(vrai)t dans les montagnes.   Fan des récits de grandes montagnes et de neige, j’ai adoré cette description des peuples himalayens, cette force et cet entêtement qui animent le trio.   Les chapitres sont divisés en multiples petites histoires sur les détails de vie, leur traque, leurs routes à travers des zones à peine explorées. Ca respire l’air frais et l’aventure.  

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Skylark de Valeron (Le)

Ce roman, troisième de la série du Skylark (l’alouette) de l’espace, dont les deux premiers avaient déjà été publiés dans le volume Dimension Skylark, était paru en 1949 en version roman, mais encore inédit en France. Le voici donc enfin traduit, et précédé d’un discours de l’auteur prononcé en 1940 et traduit par Jean-Marc Lofficier, sur « Comment j’ai écrit mes space operas ».  

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Ahriman

En voilà un roman qui mériterait amplement sa place au palmarès du prix Masterton. En effet, rarement j’ai lu aussi bon, aussi craignos que Masterton. La relève serait assurée ? Des morts inexpliquées, en charpie, exécutés en un rite satanique. Une météo sur la ville de Toulouse jamais vue. De canicule l’on passe à une tempête rageuse avec des vents qui ressemblent plus à des ouragans. Un inspecteur de police creusant dans les méandres de ces meurtres ignobles est confronté à l’incroyable.

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GWENN AEL 01

Bonjour Gwenn. Est-ce que vous pouvez vous présenter en quelques mots ? Bonjour ! Tout d’abord, je tenais à vous remercier d’avoir pris le temps de lire mon roman. Une présentation en quelques mots ? Je vous répondrai simplement que je suis une passionnée qui ne peut s’empêcher d’écrire à la première occasion donnée. J’ai commencé par des nouvelles (fantastiques) publiées dans des revues spécialisées en France et au Canada. Puis naturellement, je me suis lancée dans le roman. Il y a eu par exemple La brèche du diable et Souviens-toi.   Quel a été votre déclic pour commencer à écrire ?

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Épée de l'orage (L') Rigante T1

Au cœur de montagnes verdoyantes se trouve le petit village rigante de Trois-Ruisseaux, dont les habitants vénèrent les dieux de l’air et de l’eau et les esprits de la terre. Parmi eux vit un enfant marqué au sceau du destin. Né au cours de l’orage qui condamna son père, il se nomme Connavar.Bientôt, les récits de son courage se répandront comme un feu de prairie. De l’enfant qui a combattu l’ours, il deviendra l’homme qui a tué le roi ! Il a juré de protéger son peuple et rien ni personne ne pourra se mettre en travers de son chemin.

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