Utopie ? Eutopie ? En tous les cas, un récit qui devrait faire réfléchir.
Dans la collection « Précurseurs.ses de la décroissance », paraît sous la direction de Serge Latouche, un ouvrage consacré à la pionnière Françoise D’Eaubonne, activiste française des années soixante-dix qui initia l’écoféminisme.
« Les professeurs mécontents : ne surtout pas leur dire que leurs récriminations feraient hurler de rire 99 % des salariés hors éducation nationale, ça les énerverait encore plus ! »
Avant toute chose, je remercie les éditions Hugo de m’avoir fourni cet exemplaire de L’art du féminisme. C’était une découverte pleine de sens, où le Féminisme, avec un grand « F », de ces cent soixante dernières années est mis en lumière en parallèle à l’art qui l’a accompagné et l’accompagne encore.
Premier livre du cycle Le cimetière des livres oubliés de Carlos Ruiz Zafon, L’ombre du vent m’a échappé pendant plusieurs années. Un ami m’a un jour conseillé de le lire alors que je plongeais dans un livre de Stefán Zweg. J’ai retenu cette suggestion en me promettant d’y donner suite. Quelques années plus tard, la réédition du livre en grand format chez Actes Sud me donne l’occasion de combler cette lacune.
Alors que la Finlande menace de s’effondrer face à l’invasion suédoise, Satu, une jeune journaliste, part en quête du Sampo, un objet légendaire, seul élément capable de les sauver, elle et son pays.
La famille avant tout
Un deuxième tome de qualité qui reprend les ingrédients du premier volume de la trilogie, tout en proposant une approche différente.
Ils sont parfait. Ils sont incontrôlables. Ils vont nous remplacer.
Un récit baroque, qui mêle la folie à l’horreur de la guerre pour un superbe texte, vibrant et puissant.
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