Littérature de l’Imaginaire

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Corsaire

Gareth Radnor a une dent contre les Linyatis. Ces immondes esclavagistes ont massacré sa famille et dévasté son village, ne laissant que des ruines de son passé. Gareth a la vengeance bien ancrée au fond de son âme. Devenu un corsaire, il fend les mers à bord du Loyal. Son équipage toujours fidèle à ses desseins. Mais les Linyatis sont plus que des esclavagistes. Ils sont des démons aux pouvoirs terrifiants. Gareth devra les traquer jusqu’aux fins fonds des océans pour découvrir leur terrible secret.

BUNCH Chris
13/05/2014 11
Corpus delicti

La Méthode est universelle, la Méthode est infaillible, la Méthode donne le bonheur, la Méthode est tout. Dans cette société futuriste, la Méthode a éradiqué la maladie et le système lutte pour maintenir la population saine et heureuse. Il oblige donc les citoyens à se soumettre à des examens médicaux réguliers, à pédaler quotidiennement et à consommer des aliments équilibrés (et synthétiques).

ZEH Juli
16/10/2010 5
Corps exquis (Le)

Amour, mort, maladie. Trois mots qui pourraient résumer ce roman halluciné de Poppy Z. Brite, où il est question d’homosexualité, de sida, de nécrophilie et de meurtres en série. Un cocktail violent, cru et explosif à ne pas mettre évidemment entre toutes les mains.

BRITE Poppy Z.
03/10/2022 118
Cornes

Ignatius Martin Perrish passa la nuit ivre, à faire des choses terribles. Il se réveilla le lendemain matin avec la migraine, porta les mains à ses tempes et sentit quelque chose d’inhabituel, deux protubérances pointues, au relief irrégulier. Lorsqu’un matin des cornes lui ont poussé sur la tête, Ig croit d’abord à une hallucination, un tour que lui joue son esprit rongé par la colère et le chagrin. Car depuis un an, depuis que sa petite amie a été violée et tuée dans de mystérieuses circonstances, il vit un enfer.

HILL Joe
30/09/2011 18
Contrées du rêve (Les)

"Nouvelle traduction de David Camus" insiste la couverture. Je n’ai pas poussé l’investigation à comparer les traductions de Papy (Denoël) ou de Paule Pérez (Bouquins, chez Robert Laffont), ces querelles m’important peu. L’essentiel est l’émerveillement que l’on ressent à la lecture de ces textes remarquables : il y est, cela me suffit. Le reste est pour les exégètes.

LOVECRAFT Howard Philips
09/01/2011 4
Contrées du rêve (Les)

Poursuivant ma relecture des oeuvres de Lovecraft, je me suis penché cette fois sur le très beau recueil publié aux Editions Bragelonne/Sans Détour, Les contrées du rêve. Une compilation de 16 récits essentiels, illustrée de 16 magnifiques dessins de créatures par Loïc Muzy. Essentiels, parce que l’on sait l’importance que revêt le rêve dans les écrits de HPL. C’est moins l’horreur absolue qui est abordée ici que l’imagination sans limite de l’auteur, à la recherche via ses personnages des mystérieuses cités légendaires à la limite du temps et de l’espace.

LOVECRAFT Howard Phillips
23/07/2019 118
Continent perdu

Le thème de la redécouverte de la civilisation occidentale après sa disparition et l’apparition d’autres civilisations est assez ancien. Dans ce récit, paru en 1970, déjà republié dans la collection, mais aujourd’hui précédé d’une préface récente, Norman Spinrad imagine que c’est la pollution qui a détruit la civilisation nord-américaine et qu’une culture moins technique a survécu en Afrique.

SPINRAD Norman
05/06/2021 48
Continent déchiqueté (Le)

Laurent Genefort est un excellent écrivain. Je crois l’avoir déjà répété de nombreuses fois dans les colonnes de Phénix, ce jeune auteur qui surfe depuis plusieurs années maintenant sur la nouvelle vague de la SF française me scie à chaque fois qu’il ouvre son stylo pour écrire un de ses romans pleins de plantes impensables, de créatures mi-oganiques mi-électroniques originales à se taper le cul par terre et de réflexions bien senties sur l’avenir de l’homme.

GENEFORT Laurent
25/08/2006 7
Contes myalgiques II

La 4° de couv nous annonce que le Diable est partout, dans les galeries des houillères, le touffu des forêts sauvages et la noirceur des sentiments. Pour ma part je ne l’ai aperçu, deviné, que dans certaines nouvelles précises, Knock knock knockin’ on Hell’s door, La Force du déni (mais était-ce le Diable ou seulement un démon), La Peau du Diable. Mais est-ce le Diable, ou plutôt le Mal, une création de l’homme, qui emplit tous ces autres contes, histoires de maléfices et de vengeances, histoires d’hommes (et de femmes) rongés par la souffrance et les larmes, par la colère et la haine ?

DAU Nathalie
28/05/2011 18
Contes myalgiques II

Sombre est le monde de Nathalie Dau, où le malheur frappe à l’improviste, détruisant des existences heureuses, fauchant les vies plus facilement qu’une faux les blés. Et rôde à la limite de ces malheurs une quantité d’êtres néfastes ou simplement malveillants, parfois même inconscients de ce qu’ils engendrent. Ils profitent de toutes les failles qui relient encore le monde des humains au leur pour agir. Les récits visitent différents lieux, différents temps, mais tous explorent ces liens, ces interventions et leurs conséquences, ce que certains pourraient trouver peut être trop répétitif.

DAU Nathalie
28/05/2011 5

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