Littérature blanche

Prenez une bande de six gamins complètement déjantés : Sem, petit génie de l’informatique, un autiste savant qui « voit » les codes et les chiffres, Gwendoline, séductrice pathologique, Méline, une hyperactive spécialiste des sports extrêmes, Laurie, dénuée de toute peur, une gothique suicidaire qui aime se scarifier avant de torturer les autres, Adrien, accroc aux jeux vidéos qui maîtrise comme personne les techniques commandos apprises manettes en main et Diego doué d’une force herculéenne, un colosse trisomique qui a la force d’une dizaine d’hommes… Les 6 sont réunis par le Dr Sheffer pour

  Quand on demande à une fille d’être sa copine de 5 minutes pour ne pas perdre la face devant son ex, celle qui vous a lourdé comme un nul et que vous pleurez à chaque respiration, c’est l’effet papillon qui entre en jeu. Voilà comment Nick, batteur hétéro dans un groupe de punk gay, découvre Norah, juive américaine des beaux quartiers, fille de producteur de disques… et accroche en quelques heures. Ce livre est ou court ou on le lit d’une traite… ou les deux. Chaque chapitre est à « une voix » : soit la vision de Nick soit celle de Norah.

« Les passagers à destination de Thriller sont priés d’embarquer dans ce livre. Ceci est le dernier avis, l’action ne peut plus attendre ». Houlà, cela faisait longtemps que je n’avais voulu finir un livre entre 16h d’une journée et 7 h du lendemain, avec une nuit de 8h entre. Alias, je ne l’ai fermé que par nécessité vitale.

Ce que dit le quatrième de couv’ : A L.A. un ange de plus s’en est allé... Une jeune femme a été retrouvée assassinée, le visage arraché. Mais pour le détective Rob Hunter, le fait le plus marquant se trouve sur la nuque de la victime : un morbide emblème taillé dans ses chairs... La marque du Tueur au double crucifix, arrêté deux ans plus tôt. Hunter repart en chasse. La première pour son nouveau coéquipier. Et peut-être la dernière s’ils ne trouvent pas le lien entre les victimes...