Littérature blanche

Impossible à résumer, voilà un ensemble de textes en prose ou vers qui évoquent les impressions et surtout les histoires et conversations imaginaires que l’auteur attribue à des portraits peints. Comme pour toute interprétation – poésie, image –, c’est personnel, et on a du mal à dire qu’on aurait imaginé la même chose face à ce portrait. Je regrette juste que les portraits choisis soient en fait peu connus. Pourtant, je passe pour une personne assez cultivée. De ce fait, je suis restée souvent distante par rapport au texte. La galerie des murmures par Isabelle Cousteil, Triartis

Imke Thalheim est une auteur de polar fort connue en Allemagne. La voilà victime d’un stalker, un fan qui harcèle une célébrité. Cet homme l’observe, l’appelle, la menace, rentre chez elle. Il LA veut ! Quitte à menacer la vie de son compagnon ou celle de sa fille, Jette. Mais le commissaire Bert Melzig, secrètement amoureux d’Imke qu’il a connue dans les affaires touchant sa fille (« Le cueilleur de fraises », « Le peintre des visages », « Le volet d’éclats »), veille.

Mon très estimé confrère Marc Van Buggenhout vous a entretenus récemment de l’Autodictionnaire Voltaire d’André Versaille, paru chez le même éditeur. Une remarquable préface y précédait une passionnante série de citations thématiques.

Voltaire, un des esprits les plus vifs et intelligents du 18ème siècle, est ici mis à l’honneur à travers ce dictionnaire dont les thèmes ont été choisis par André Versaille, auteur et éditeur belge. Qui mieux que ce dernier pouvait proposer un dictionnaire de plus de 600 pages dans une collection qui convient tout à fait à l’œuvre de Voltaire, je veux dire la collection Omnibus.