Soumis par Véronique De Laet le mer, 26/01/2022 - 06:00
C’est peu banal de critiquer les actes d’un colloque. Il s’agit de ce qu’on appelle de la littérature comparée, c’est-à-dire, une approche d’une œuvre littéraire et de sa déclinaison dans un autre art, à savoir dans ce cas, la série télé du même nom.
Les intervenants avaient un but : étudier l’influence des romans de Georges Martin sur la perception de la fantasy.
Il va sans dire que l’idéal est d’avoir lu la saga et vu la série, même si dans mon cas, je me suis contentée des 5 premières saisons de la version télé. Je ne me suis pas trop sentie perdue pour autant.
Soumis par Georges Bormand le sam, 01/01/2022 - 06:00
Heureusement pour moi et pour vous, il n’est pas nécessaire d’avoir lu et relu la totalité d’un dictionnaire pour être capable d’en avoir une idée générale et d’en indiquer l’intérêt. Même si, alors que je n’ai encore lu qu’une partie des articles, il se peut que j’oublie dans cette critique quelques points forts d’autres articles et même si, de toute manière, aucun Dick-tionnaire ne saurait même espérer décrire de façon complète l’univers de Philip K Dick, l’intérêt et la rigueur de la recherche effectuée par Ariel Kyrou sont apparents dans tous les articles.
Soumis par Georges Bormand le jeu, 29/07/2021 - 06:00
Il s’agit d’un recueil de plusieurs nouvelles plus ou moins récentes. Certaines, en particulier la nouvelle éponyme, se placent dans l’univers principal des œuvres de l’auteur, celui des découvertes et études ethnologiques et sociologiques des différentes espèces humanoïdes de l’Ekumen, d’autres dans une Terre présente, future ou uchronique. Toutes sont des études sur des mondes possibles, des reflets étranges du monde réel. Et toutes reposent la question de base de la SF : « Et si... ? ».
Soumis par Véronique De Laet le ven, 16/07/2021 - 06:00
Paris, 1899.
Les fées sont parmi nous.
Cachées.
On les appelle des Faux-Semblants.
Soumis par Georges Bormand le jeu, 15/07/2021 - 06:00
Le conte de Nnedi Okorafor sue la petite fille qui transforme son monde grâce à ses dessins demandait bien sûr l’accompagnement des dessins que Zariel lui a donné. Voilà pourquoi il est indiqué comme co-auteur de ce texte (ou, au moins, de sa version française ?).
Soumis par Georges Bormand le mar, 29/06/2021 - 06:00
Si j’avais encore besoin d’une preuve que la fantasy est une branche de la littérature mainstream, ce roman picaresque, plus proche de Walter Scott ou d’Alexandre Dumas que de Tolkien, de Dunsany ou du Howard de Conan, avec une part de critique de la société britannique du dix-huitième siècle à la manière de Jane Austen, et du camouflage d’un pays imaginaire digne du Prisonnier de Zenda, toutes œuvres « reconnues » comme « littéraires », me confirmerait dans ma perception du gouffre entre le bloc « littéraire » mainstream-fantasy et le bloc spéculatif SF-fantastique.
Soumis par Georges Bormand le mer, 02/06/2021 - 06:00
Ne pas avoir lu d’abord La stratégie des as m’a certainement fait perdre énormément sur la construction de l’univers d’« urban fantasy » dans lequel se déroule cette histoire. Les explications partielles de ce second volume sont insuffisantes pour donner l’impression d’un univers cohérent et aboutissent à une impression que j’espère fausse d’un décor de théâtre plus ou moins complété au fur et à mesure des besoins d’une histoire qui se complique sans cesse.
Soumis par Georges Bormand le mer, 26/05/2021 - 06:00
Dans ce troisième épisode, suivi d’un entretien avec Christian A Coleman réalisé, semble-t-il, avant la sortie de ce troisième épisode, mais après son écriture, c’est essentiellement le destin de l’héroïne, l’achèvement de sa formation, alors même que sa tentative de réconcilier Méduses et Khoush échoue, que nous raconte Nnedi Okorafor.
Soumis par Véronique De Laet le mar, 18/05/2021 - 06:00
Nés dans le confort de la famille noble des Cabayol, Vian et Andrès sont deux frères inséparables. Mais dans un pays où la révolution gronde et où les anciens royalistes fourbissent leurs armes pour renverser la toute jeune République, ils vont devoir choisir leur camp
Le titre La machine est une métaphore pour une civilisation avancée qui devrait valoriser ses éléments pour mieux fonctionner et répartir devoirs comme droits. Mais parfois, la Machine broie ses éléments…
Soumis par Véronique De Laet le mar, 27/04/2021 - 06:00
Nous sommes dans une œuvre de steampunk, avec des calèches à vapeur sur rails, des mages, des trolls, des elfes et.. des humains.
Nous suivons James, un elfe, et Mila, deux voleurs qui auront le tort de chaparder deux livres à la puissante guilde des mages et devront fuir les chasseurs.
James est lié à Marion, une humaine. Ils partagent de tendres sentiments qui ne peuvent aboutir pour toutes sortes de raisons, incluant aussi leur différence d’espèces.
Pages