Littérature de l’Imaginaire

Titretrier par ordre décroissant Date uid de l'auteur
Solaris n°185

Terrible dragon de couverture de Guy England, qui inaugure bien le numéro. Curieuse nouvelle chinoise d’Orson Scott Card, Le Tricheur, assez politique. Le Bandeau vert de Monsieur Hayashide Yann Quero, conte philosophique amusant, continue sur la lancée asiatique, nipponne, cette fois. M. Hayashi, employé anonyme, un peu distrait, a mis un bandeau vert, symbole de contestation : il devient un héros malgré lui. Utuk, d’Alain Ducharme, me semble le meilleur récit de ce Solaris.

SOLARIS
13/06/2013 4
Solaris n°186

Nos amis canadiens ont mis le paquet : voici un des plus riches Solaris de ces derniers temps ! Peut-être parce que le thème du dossier m’interpelle ? Le fantastique urbain est fascinant, en effet, parce qu’il nous touche tous, dans notre vie quotidienne.

SOLARIS
23/07/2013 4
Solaris n°187

Je parcours le sommaire et tombe sur La Renaissance de Barsoom, essai de Mario Tessier. Que fais-je ? Je lis tout de suite, entendu. En vingt pages, le sympathique et compétent chroniqueur de Solaris fait le tour de la question, en parcourant physique, astronomie et littérature martiennes. Laplace, Schiaparelli et Lowell aboutissent logiquement à H. G. Wells et E. R. Burroughs, puis à Ray Bradbury et à Leigh Brackett. La conclusion mentionne un regain de parutions aux États-Unis, en 2012, de nouvelles romances planétaires comme New Adventures on Barsoom ou Old Mars.

SOLARIS
05/09/2013 4
Solaris n°189

Valable pour deux essais.

SOLARIS
02/03/2014 4
Solaris n°190

Pierre-Louis a un voisin qui parle une langue incompréhensible. Il en apprend quelques rudiments puis se rend à un Salon de l'Occulte pour essayer d'en trouver la clé. En soulevant un rideau d'un des stands, il aboutit dans un autre monde, dans lequel non seulement personne ne comprend la langue du fameux voisin, mais ni l'anglais ni le français non plus. Il est coincé, ailleurs. La langue des autres, texte assez fascinant d’Éric Gauthier, qui évoque tant Epépé de Ferenc Karenthy que Krouic, une des plus étranges aventures de Bob Morane (Henri Vernes).  

SOLARIS
30/06/2014 4
Soldat chamane T2 (Le)

Nous retrouvons Jamère Burvelle dans le monde de Gernia. Alors qu’il entame la fin des épreuves de sélection dans l’école de cavalerie qui doit faire de lui un officier, Jamère a de plus en plus l’impression qu’il n’a pas sa place à cet endroit. Les fils de l’aristocratie ne veulent pas des fils de soldat ennoblis.

HOBB Robin
01/02/2007 6
Soldats de la mer (Les)

  Réédition importante. "Les soldats de la mer" est paru chez Julliard en 1968 et attira immédiatement l’attention des amateurs de fantastique. Il s’agit d’un roman sous forme de dix-sept nouvelles se déroulant sur une Terre parallèle (il y a deux lunes, et les vampires y sont réels), évoquant plus ou moins le début du XIXe siècle. Une "Fédération" regroupant des cités-états aux noms mi-allemands mi-français (Marienbourg, Lauterbronn, Ozmüde) n’a de cesse de s’étendre, et ce monde est donc un monde militaire, dont les héros sont généraux, colonels ou lieutenants.

REMY Yves, REMY Ada
01/09/2006 7
Soleil noir, Origine T1

Quatre ans se sont écoulés depuis l’invasion extraterrestre... A l’âge de 17 ans, Evie Dasher n’en a que peu de souvenirs. Lorsqu’elle décide de se rendre en cachette dans une boîte de nuit connue pour être l’un des rares lieux où il est encore possible de côtoyer les Luxens survivants, la soirée ne se déroule pas tout à fait comme prévu. Quand les choses tournent mal, elle fait la connaissance de Luc, un jeune homme beaucoup trop beau pour être humain.

ARMENTROUT Jennifer L.
23/05/2019 119
Soleil vert

Ce roman sur la surpopulation envisagée pour la fin du siècle dernier a sans doute un peu perdu de son pouvoir prophétique, tellement les craintes actuelles (réchauffement climatique, d'ailleurs évoqué dans le roman, terrorisme, maladies nouvelles …) surpassent de loin celle de la surpopulation. Pourtant le portrait du New York de 1999 évoqué dans ce roman est une simple caricature de la situation de certaines villes du « tiers-monde », la pénurie alimentaire en plus.

HARRISON Harry
05/08/2014 48
Solitudes de l'ours blanc (Les)

Profession tueur à gages Marc Sisley est un tueur. Dépourvu d’état d’âme, il tue n’importe qui pourvu que le salaire soit conséquent. Au fil des années, Sisley a fini par devenir un des meilleurs dans sa partie. Un soir, il capture Albert Durieux, l’emmène en forêt, écoute ses supplications puis arrive le moment fatidique : « Je brandis mon revolver à bout de bras, à dix centimètres de la tempe droite de Durieux qui, halluciné, est parcouru de spasmes incontrôlables. Je prononce ainsi les derniers mots qu’il entendra avant de rejoindre le néant. _ - Un ours blanc meurt toujours dignement.

DI ROLLO Thierry
22/07/2013 18

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