Dans ce roman de type post-apocalyptique datant de 1935, Régis Messac imagine que, suite à l'emploi d'une arme incontrôlée, la Deuxième Guerre mondiale (provoquée par les Japonais alliés avec les Allemands, mais aussi avec les Anglais, contre Français, États-Uniens et quelques autres) a provoquée la disparition presque complète de l'humanité dans un cataclysme qui a associé la disparition presque complète de l'oxygène, tremblements de terre et élévation du niveau des eaux.