VANWEDDINGEN Suzanne 01

Suzanne Vanweddingen. Ce nom ne vous dit peut-être encore rien mais il s'agit d'une des jeunes pousses prometteuses du domaine SFFF francophone. Auteure de plusieurs romans et de plusieurs nouvelles, elle vient de sortir aux éditions aux éditions Rroyzz « L'ombre de la cité », second volume de la série fiction « La cité » oscillant entre thriller et science-fiction. Vous pouvez également retrouver chez le même éditeur « Le dernier train », roman policier se déroulant dans l'univers ferroviaire de la fin du 19e siècle.

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Fleur de Tonnerre

Ce « roman » est aussi un pan d’Histoire romancée. On suit les pas d’une Basse-Bretonne, Hélène Jegado, dite Fleur de Tonnerre, qui se révèle depuis ses 8 ans être une grande empoisonneuse. Utilisatrice de belladone et d’arsenic, cette cuisinière fort compétente a tout au long de sa vie autant circulé de bourg en bourg qu’assassiné sans limite. Il faut reconnaître que dans les années 1800-1850 (elle fut exécutée en 1852), la communication dans les coins reculés, sans éducation scolaire et superstitieux était assez limitée.

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Évangile cannibale (L’)

Clavel l’astucieux Issu du monde du jeu de rôles et ancien collaborateur du journal Casus Belli, Fabien Clavel s’est fait d’abord connaître par son cycle de fantasy Nephilim avant d’aborder la science-fiction sous ses différents visages : l’uchronie avec La cité de Satan ou le space opera avec L’océan des étoiles. Touche-à-tout, Clavel (il a même abordé le bit-lit avec Le miroir aux vampires !) nous propose avec L’évangile cannibale sa version du thème des zombies. Autant le dire tout de suite : ça dépote !   L’odyssée du troisième âge

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Quinzinzinzili

Dans ce roman de type post-apocalyptique datant de 1935, Régis Messac imagine que, suite à l'emploi d'une arme incontrôlée, la Deuxième Guerre mondiale (provoquée par les Japonais alliés avec les Allemands, mais aussi avec les Anglais, contre Français, États-Uniens et quelques autres) a provoquée la disparition presque complète de l'humanité dans un cataclysme qui a associé la disparition presque complète de l'oxygène, tremblements de terre et élévation du niveau des eaux.

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Je viendrai ce soir à neuf heures...

Comme toujours chez Willy Deweert, l'action démarre en trombe : un auteur pressenti par tous pour remporter le Prix Goncourt se récuse la veille du scrutin et... disparaît. Que s'est-il passé ? Une journaliste passionnée mène l'enquête. Notre écrivain, Fabrice Monclar, a filé au Sénégal, où il mène une nouvelle vie d'instituteur sous le nom de Jacques Berlière. Pourquoi ? C'est ce que va tenter de découvrir la journaliste, Julia Grangier, qui s'envole pour Dakar.  

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Longue guerre (La)

Il s'agit d'une suite de La longue terre, qui présente la suite des voyages de certains explorateurs, en particulier José Valiente et Sally Lindsay, au milieu des bouleversements et des risques de guerre qu'amènent les actions du Président Brian Cowley contre les colonies des autres Terres et la volonté d'indépendance des colons, particulièrement de ceux des mondes lointains – sans compter les problèmes liés à l'attitude des colons contre les trolls et à leur nouvelle fuite, cette fois-ci pour se cacher des hommes.

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Dans la ville infinie

Alain Dartevelle nous donne, dans le style du Ballard de Vermillion Sands, huit images d'Infinity City, ville à l'écart du monde, préservée des conflits et désastres écologiques qui sévissent sur notre planète, même s'il arrive qu'un jeune de la cité soit envoyé au front d'une guerre qui ne touche pas la ville. Et il nous offre plus précisément quelques images de la vie des plus puissants de cette ville, ou de celle de ceux qui subissent leurs frasques et leurs fantasmes.

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Nocturne - Griffes et Décrépitudes

Volume III des Charmes de l'effroi, anthologie thématique irrégulière de nouvelles fantastiques. Huit textes de jeunes auteurs passionnés avec, en commun, le thème de la griffe.  

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Black-out

Connie Willis revient à un thème qu'elle a déjà attaqué : celui des voyageurs du temps et de leurs craintes face aux paradoxes, de leurs difficultés d'adaptation, etc. En 2060, le voyage dans le temps est réservé aux seuls historiens envoyés par la faculté d'Oxford. Le procédé est considéré comme à peu près sûr, on sait que les éventuelles modifications sont corrigées par une sorte d'élasticité de l'histoire, laquelle se manifeste d'ailleurs par des décalages imprévisibles, dans le temps ou dans l'espace, par rapport à l'endroit et au moment d'arrivée fixée.

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