Critiques

La plage. Le sable chaud. Un cocktail et une chaise longue, Vavache profite paisiblement des vacances. Soudain, un aigle facteur passe dans le ciel. Il lâche son colis, c’est Pinpin le lapin qui arrive avec sa grosse valise. Après un atterrissage catastrophe, Pinpin est accueilli par une vavache fine folle de cette heureuse visite. Elle embarque Pinpin chez elle et lui concocte une tambouille de sa composition. Pinpin hésite à avaler l’étrange mixture. Vavache est toute triste. Pinpin goûte alors une cuillère et dans la foulée, il crache du feu tellement ça arrache. Vavache s’affole pas.

L’ennemi public N°1 Wanted

Hanté par les cauchemars de la guerre du Vietnam, Evan n’aspire qu’à une chose : la tranquillité. Il espère la trouver en s’installant dans la petite ville paisible de Bethany’s Sin avec sa famille. Mais bientôt d’étranges détails viennent le perturber : les hommes de ce village semblent terrorisés, certains sont même horriblement mutilés. Pourtant aucun ne consent à en parler. La nuit, on entend dans les rues des bruits de sabots et des hommes, toujours des hommes, disparaissent sans laisser de traces. Et si les femmes de Bethany’s Sin dissimulaient un horrible secret ?

Danger immédiat Ombres et brouillard

Sam a localisé son père en Valachie, chez Vlad Tepes, celui que l’Histoire retiendra mieux sous le nom de Dracula. Sam a aussi compris qu’il lui faut réunir 7 pièces trouées pour choisir le lieu et la date de son voyage dans le temps et c’est sa principale tâche. Accompagné de sa cousine Lily, qui a hélas été happée par le tourbillon du temps, il arrive à Pompéi, avant l’éruption du Vésuve, se retrouve à Chicago pendant la grande crise des années 20 et, afin de retrouver une pierre du voyageur, se retrouve chez son grand-père, âgé lui de 7 ans.

Odin, dieu suprême, charge sa fille, la Walkyrie Brunehilde, de sauver sa lignée humaine. Cette descendance adultère de chair est maudite par son épouse, jalouse – et pas à tort ! Brunehilde accepte la mission et descend sur terre pour vivre une expérience unique. Elle nous raconte sa longue vie au travers de « chants ». Autant les 30 premières pages m’ont semblé très longues (les divers noms sont nombreux et surtout peu communs dans notre culture générale), autant la suite a été passionnante.

Un village, au Moyen Age. Benoit est fils de couturière. Sa mère est connue pour la qualité de ses broderies et son commerce est florissant. Un jour, il y a une exécution sur la place publique. Le mécréant est exhibé face à la foule, puis le bourreau lui colle la tête sur un tronc avant d’abattre sa hache. Benoit reste un instant sous le choc de cette tête qui roule sur le sol. Récompensé par le roi, l’énorme brute encagoulée achète victuailles et vêtements. Puis il entre dans la maison de la couturière. Contre toute attente, il fait preuve de bonté et s’intéresse à une broderie de soie.

Après Jack Vance, Jack Williamson et Poul Anderson, le Bélial nous propose Clifford D. Simak, auteur d’une trentaine de livres de science-fiction, dont le classique Demain les chiens. Curieusement, je ne l’ai jamais lu, lui préférant les Ingénieurs du Cosmos. Je dirai même que Simak est passé à travers mon filtre science-fiction sans vraiment m’avoir marqué. Heinlein, Hamilton et Williamson m’ont plus influencé.

Je vous présente Max. Il ne connait pas Coquillage. Pourtant, Max est dessinateur. Il bosse dans un atelier avec son vieux pote Norbert. Norbert et Max ont un troisième vieux pote, Piero, qui vit en coloc avec Max et Chloé. Ensemble, ils s’organisent des soirées fiesta. C’est ainsi que Max a connu Andy qui dessine et qui joue de la musique aussi. Andy est amoureux de Clara. La même Clara qui vit en coloc avec Coquillage. Et voilà, la boucle est bouclée. Le grand soir est arrivé pour Max et Coquillage.

Riche idée de la part des éditions Bragelonne de rassembler les trois opus des guerriers de la nuit en un seul volume. C’est vrai, il est un peu lourd, mais un peu de musculation n’a jamais fait de tort à personne. Moi qui a abordé Masterton un peu à rebours, j’ai été agréablement surpris de découvrir cette trilogie après des romans tels que « Sang impur » et « Le maître de mensonges » qui, je l’avoue, ne sont pas à mettre dans toutes les mains tant l’horreur à l’état pur s’étale sur pas mal de pages.