Littérature

L’univers d’Honor Harrington continue de s’étoffer avec ce cycle parallèle qui s’inscrit parfaitement dans la trame dessinée par David Weber. Après L’ombre de Saganami qui nous avait fait découvrir l’amas de Talbot, voici L’ennemi dans l’ombre, sa suite qui ne manque pas d’intrigues et de suspense. Ce deuxième tome, toujours édité chez l’Atalante, est proposé en deux volumes. C’est épais, c’est dense, c’est parfois déroutant par le grand nombre de personnages rencontrés, mais cela reste excellent.

Jasper roulait avec Ombe sur la moto de celle-ci pour passer la soirée du 24 décembre. Mais il se réveille à l’hôpital et Ombe est morte. La seule obsession de Jasper sera de retrouver qui a traqué son amie et lui-même. La vérité est encore plus cruelle qu’on ne l’imagine… Avec 200 pages seulement, impossible de résumer sans en dire de trop, j’adore toujours le côté dingo, chien fou, ado de Jasper, même si sa culture me semble difficile à croire (Fafnir, donner le nom d’un dragon de la mythologie scandinave, à 15 ans).

J’avoue ne pas savoir quand est prévu l’édition française du nouveau roman de Stephen King, « 11/22/63 » sorti depuis une petite quinzaine sur les territoires anglo-saxons. Mais franchement, je n’avais pas envie d’attendre quelques mois encore pour partager avec vous, lecteurs de Phénix, le plaisir de lecture immense qui se dégage des neuf cent pages de ce thriller temporel totalement maîtrisé.

Le monde est envahi par les anges qui se présentent comme une nouvelle religion. Seuls quelques T.A (tueurs d’ange) ont la capacité en concentrant leurs chakras de voir ce que les anges font réellement aux humains : ils s’en nourrissent, leur brûlant le cerveau à tout jamais. Fils et frère de T.A., Alex n’a pas 18 ans quand une mission l’envoie tuer Willow. Willow va avoir 17 ans, elle vit avec sa tante et sa mère qui s’est écartée du monde et vit dans son rêve. Willow a des dons de divination qui l’empêchent d’être comme les autres.