Soumis par Channe le ven, 18/01/2008 - 17:16
Vous aimez la fantasy, l’imaginaire, les mythologies, les livres qui vous laissent pantelant dans la nuit avec l’impossibilité de vous endormir, qui vous empêche de travailler tranquillement…
Vous avez envie de vous plonger dans un monde inconnu, de le défricher, de le déchiffrer, de l’investir de vos images, de vous laissez envahir par ses images, ce livre est là, né de la plume de Steven Erikson en partage de création avec Ian Cameron Esslemont. Ce qui explique la dédicace « des mondes à conquérir, des mondes à partager ».
Soumis par Equipe Phenix le jeu, 17/01/2008 - 18:34
1943. L’Obergruppenführer Rudolf Heyzig est mort. Peu de temps après, le commando Sykes est exécuté par Schroeder. La lutte entre services secrets fait rage et la Wehrmacht parle de renverser Hitler. Mais la véritable finalité de tous ces complots approche. Vlad Tepes est sur le point de retrouver Ana qui n’est autre que la réincarnation de son frère Radu.
Avec toujours autant de rythme et de suspense, « Je suis légion » finit en beauté. Une série qui allie à merveille espionnage, fantastique et action. Les fans déjà conquis ne le seront que plus encore.
Soumis par Franck Boulègue le mer, 16/01/2008 - 17:16
Ce roman, rédigé en 1990, initie un cycle - regroupant au total 9 tomes aux Etats-Unis - qui suit les aventures d’un régiment nordiste (le 35ème du Maine) projeté au beau milieu d’un monde médiévo-fantastique auquel il devra tant bien que mal s’adapter – en n’hésitant pas, il est vrai, à le remodeler grandement selon ses valeurs, son développement technologique et ses impératifs moraux propres.
Soumis par Equipe Phenix le mar, 15/01/2008 - 18:55
A peine arrivés dans l’autre monde, Maxime et Rebecca doivent repartir au plus vite. Car si le Maître des Ombres découvre leur existence, il détruira notre monde, tout comme il le fait avec le sien. Pendant ce temps, Théo et Noé cherchent une solution pour ramener leurs amis chez nous. Mais voilà que la mère de Rebecca débarque.
Soumis par Josèphe Ghenzer le dim, 13/01/2008 - 22:18
Pleins pouvoirs Les disparus
Soumis par Equipe Phenix le dim, 13/01/2008 - 18:54
Une jeune fée de 115 ans décide de s’installer à la campagne. Elle a comme animal de compagnie le « Mal Cuit-cuit ». Ce mix entre un poulet et un canard ne sait faire qu’une chose : dire des vacheries. « T’es moche », « Tu pues », « Va jouer dans ta cour ». En gros, il pense tout haut ce que la fée pense tout bas de tous ces casse-bonbons qui l’entourent. Mais si la faute est grave, le « Mal Cuit-cuit » ne suffit plus. La fée Kaca use alors de sa baguette magique et transforme le coupable en crotte.
Soumis par Josèphe Ghenzer le dim, 13/01/2008 - 09:19
Jusqu’au bout de la nuit Peur sur la ville
Soumis par Véronique De Laet le sam, 12/01/2008 - 22:32
Ah, cette fois-ci, le voyageur de la Seconde Terre, Bobby Pendragon suit le terrible Saint Dane sur Cloral. C’est le territoire préféré de son « oncle » Press. Un territoire sans terre émergée où la vie est organisée sur des cités qui sont arrimées dans la mer, des fermes sous-marines et le flume défendu de terribles quigs-requins.
Sur ce territoire, notre héros de 14 ans va vivre des drames et des joies et surtout va apprendre à annoncer à d’autres êtres qu’ils sont élus pour devenir les voyageurs.
Soumis par Equipe Phenix le ven, 11/01/2008 - 18:54
Les années rock’n’roll battent leur plein. Sunny Day est désormais grand-mère et son défunt Elmore fait son come back en tant que fantôme hallucinogène. Les habitants de Fetic City ne jurent que par la venue de Litchi Balenz. Quant à l’épicerie Edison, c’est la nouvelle génération qui s’en occupe. Mais fini l’alcool de Saumon, place à la confiture de Méduses !
Soumis par Equipe Phenix le jeu, 10/01/2008 - 09:27
J’ai entamé ce livre par une série d’impressions négatives, que la lecture de la suite m’a permis d’atténuer ou de contredire :
d’abord, la traduction du titre m’a choqué. Traduire The Resurrected Man par Reconstitué faisait d’abord une référence totalement indue au titre déjà utilisé par Anne McCaffrey, et changeait de façon notable l’impression a priori sur le contenu du roman.
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