Critiques

  Des Visiteurs sont venus sur Terre. Sortis d’on ne sait où, ils sont repartis sans crier gare. Dans la Zone qu’ils ont occupée pendant des années sans jamais correspondre avec les hommes, ils ont abandonné des objets de toutes sortes. Objets-pièges. Objets-bombes. Objets-miracles. Objets que les stalkers viennent piller au risque de leur vie, comme une bande de fourmis coloniserait sans rien y comprendre les détritus abandonnées par des pique-niqueurs au bord d’un chemin.

Un grand appartement oublié de l’île Saint-Louis dont les portes et les pièces disparaissent les unes après les autres... Un bureau secret du ministère de l’Intérieur chargé d’explorer la banlieue parisienne pour y trouver les preuves de l’existence de Dieu... Une entreprise géante qui fait surveiller ses employés par des espions semi-visibles... Une ville utopique construite d’après Fritz Lang et hantée par un mystérieux « Charbonnier »...

RESUME : Rhoda Williams, brillante jeune diplômée en astrophysique, rêve d’explorer l’espace. John Burroughs est un compositeur au sommet de sa carrière qui attend un deuxième enfant. Le soir une autre planète semblable à la Terre est découverte, la tragédie les frappe et les vies de ces étrangers deviennent inextricablement liées l’une à l’autre. (www.allocine.fr)

« C’était il y a longtemps, très longtemps, quand les hommes affrontaient la terre à mains nues, luttant pied à pied contre les fauves des forêts, les démons de leurs rêves et la faim. Une femme avait eu un fils. Ils vivaient tous les deux à la lisière d’un bois, non loin du gué d’une rivière. Mais en ces temps déjà, les hommes ne se contentaient plus des gués et rêvaient de ponts arqués comme des épaules, forts comme des bœufs, éternels comme des chênes, bâtis dans le lit enragé des fleuves à grands frais de pierres et de vies humaines.

Percy continue sa lutte pour que Cronos ne détruise pas le monde et avant tout, la colonie des Sangs-Mêlés. Cette fois-ci, il s’enfonce avec Annabeth, Tyson et Groover dans le Labyrinthe de Dédale à la recherche du fil d’Ariane qui serait une aide précieuse pour Luke, le traitre, afin de trouver le chemin vers la colonie. Plein d’aventures et de rencontres avec des êtres mythologiques vont parsemer cette quête qui n’est pas encore la fin de l’aventure !

Le monde tel que nous le connaissons n’existe plus. Balayé par un virus transformant hommes, femmes et enfants en morts-vivants. Le peu de survivants ajoute une couche à cet enfer terrestre. Comme seule réplique, nos chers dirigeants utilisent les armes de destruction massive. Ils bombardent les grandes villes à l’arme nucléaire. Dans ce décor apocalyptique, un pilote de chasse rédige son journal. Jour après jour, l’on suit sa survie. Tantôt empli de désespoir ou à l’inverse, de confiance en un avenir digne de ce nom.

L’Atalante publie un recueil de six nouvelles inédites de Terry Pratchett, écrites entre 1992 et 2007. L’auteur annonce qu’il n’est pas à l’aise avec ce format d’écriture, ce qui se traduit par des textes de valeur inégale. La Mer et les petits poissons est un récit qui constitue la moitié du recueil et met en scène deux sorcières mythiques du Disque-monde, Mémé Ciredutemps et Nounou Ogg. Cette nouvelle bien construite illustre à merveille le véritable pouvoir des sorcières, la « têtologie ». A signaler que cette nouvelle contient des scènes insoutenables comme...

La première mort que chacun de nous rencontre provoque, ou plutôt la première mort dont il prend vraiment conscience, l’amène à avoir un nouveau regard sur le monde. Un regard d’adulte ? C’est en tout cas le passage à l’âge adulte de la narratrice que nous raconte ce roman, bien plus que la recherche du coupable et les péripéties policières.

On retrouve notre héroïne, Nasty, en proie à ses démons. Alors que la Nouvelle Année aurait pu lui apporter une forme de renouveau, tout tourne mal et elle s’en sent coupable. Très vite, son ancienne vie faite de facilités et de plaisirs lui semble plus adaptée et elle s’enfuit de River’s Edge. A moitié inconsciente, dans la forêt, Incy, son ami de dizaines d’années de débauche, la retrouve, la reprend avec lui pour revivre des folies de plaisir. Mais est-ce encore la Nasty d’avant, l’insouciante égoïste ? Ou lui reste-t-il des apports de la vie à la campagne ?