Critiques

Clé du menteur (La), La Reine rouge T2

Jalan et Snorri ont survécu. Possesseur de l’étrange clé de Loki, le guerrier nordique est bien décidé à l’utiliser pour ouvrir la Porte des Morts, et sauver ainsi son épouse et ses enfants.   Les deux compagnons partent vers le sud à la recherche d’informations sur la Porte des Morts, prêts à interroger tous sorciers ou magiciennes pouvant être utiles. Enfin, presque. Jalan est surtout impatient de retourner à Vermillon pour y retrouver sa vie facile de plaisirs. Mais la route sera imprévisible pour les deux héros, poursuivis par les forces du Roi Mort.  

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LoveStar

Dans un monde où aurait été trouvé, par l’étude des oiseaux et des insectes, le secret d’ondes perçues sans appareillage et où, sans que l’individualité des humains y fasse obstacle, la totalité de la population mondiale aurait été mise en réseau par la société LoveStar, dont le fondateur a pris le nom comme pseudonyme.

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Futu.Re

Parce que je venais de le lire et parce que le scénario annoncé en quatrième de couverture semble s’y limiter, j’ai cru pendant une grosse partie de ma lecture que ce roman reprenait, essentiellement, le thème du Travail du furet, de J-P Andrevon : une Europe surpeuplée (et barricadée comme chez Philippe Curval), des tours géantes manière Monades urbaines (mais entre lesquelles on circule), et la Phalange, police spéciale chargée de débusquer les contrevenants à la loi du Choix, qui impose une mort pour chaque naissance dans un monde où le vieillissement a été vaincu.

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Grand central arena

Ariane Austin est une téméraire pilote de vaisseau qui participe à des courses d'obstacles pour ressentir le frisson du danger. Lorsque le célèbre professeur Sandrisson la contacte pour piloter le vaisseau qu’il a mis au point, Ariane n’hésite pas une seule seconde.   Le Graal doit en effet permettre à l'Homme de voyager plus vite que la lumière. Même si les risques sont élevés, la chance de découvrir des mondes inconnus fait saliver tout l’équipage de scientifiques. Le saut se passe à merveille mais les ennuis commencent... dès leur arrivée… quelque part.  

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Feuillets de cuivre

Construit selon le principe du feuilleton façon XIXe siècle, ce nouvel opus de Fabien Clavel se révèle plein de surprises.   Après deux ouvrages très zombiesques, je retouve Fabien Clavel mais dans le steampunk.  

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Forêt de cristal (La)

Folio SF réédite La forêt de cristal de J. G. Ballard, grand romancier anglais, décédé en 2009 après une longue carrière dans la SF. Le présent ouvrage illustre la puissance de l’écrivain sans aborder directement ses thèmes chers – cruauté, modernité, perversion, société de consommation. Ici, le lecteur se trouve plongé dans un décor délibérément éloigné de la civilisation et de ses vices, avec quelque infidélité à la névrose urbaine où la hantise ballardienne rôde sans menace cette fois sur les quais d’un port africain ou dans les chambres ensoleillées d’un hôtel.

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Ailés (Les)

Dans la lignée d’Aylin et Siam ou Thanos et Jewell, aussi dans le cycle du Destin, Éric Simard propose un troisième volume sur la survie post-apocalyptique dans un Paris inondé. Les deux héros, Rudi et Elorn, sont des ados de 14/15 ans, qui se rencontrent, s’affrontent car ils ne se connaissent pas et se ont peur l’un de l’autre. Mais l’histoire tourne autour de leurs liens d’amitié qui se construisent. Le tout mâtiné d’une sorte de sectes de pseudo-anges qui viennent soi-disant en paix prendre possession de parties de la ville et se révèlent dangereux.  

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Limites de l’enchantement (Les)

Nouveau coup de cœur pour moi à la lecture de cet auteur que j’ai découvert il y a quelques mois avec « Lignes de vie ». Cette fois, Graham Joyce nous fait voir l’Angleterre rurale des années soixante à travers l’histoire de Fern.

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Origine des Victoires (L’)

Cette suite de récits, présentés en ordre non chronologique (serait-ce l’ordre d’écriture ?), nous montre la lutte d’un groupe de femmes, les Victoires, contre les actes d’un démon (ou d’un monstre venu de l’espace) qui se nourrit de la souffrance et entretient donc guerres et malheurs, l’Orvet.

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Frankenstein ou le Prométhée moderne

D’introduction en préface et de préface en narration, c’est par antichambres qu’on pénètre dans le vif du sujet – ou plutôt le moribond... voire le putride avancé. A l’heure du billet express sur FB, de la minute des journaux et de l’immédiateté du tweet, le rythme auquel s’opère l’entrée en matière a de quoi faire sourire, ou agacer.

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