SCALZI John

Flammes de l'empire (Les)

Second tome de la trilogie sur l'interdépendance, space opera de John Scalzi

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Effondrement de l'empire (L')

L’effondrement de l’empire de John Scalzi ne laisse planer aucun doute, c’est du space opera, mais pas militaire. Le premier chapitre qui se focalise sur la mutinerie d’un vaisseau pourrait laisser croire que tout le livre ne sera que batailles. Eh bien non ! C’est beaucoup plus subtil que ça en a l’air et c’est très bien amené au lecteur. Le premier chapitre donne simplement le ton et le rythme.

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Brigades fantômes (Les)

Cette suite de la saga a nourri tous les espoirs sur lesquels je m’appuyais.   Un homme meurt. N’importe qui. Vous, moi.  L’ADN est utilisé à des fins militaires. Il en résulte des combattants d’une extrême efficacité. L’ADN d’un traître est ainsi propulsé dans un soldat des brigades fantômes. Sa véritable identité va-t-elle prendre le pas sur celle de son clone-soldat ?   Ben ça mes bons amis vous le saurez en vous procurant le livre. Première chose. Il n’est pas nécessaire d’avoir lu le premier tome. Ça aide, c’est sûr, mais ce n’est pas une obligation. 

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Enfermés (Les)

Une société futuriste ravagée par la maladie puis sauvée par la science, une enquête policière où l'argent est au cœur de tout. Et un très bon livre.

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Vieil homme et la guerre (Le), Brigades fantômes (Les), Dernière colonie (La) et Zoé

Quatre romans de John Scalzi : Le vieil homme et la guerre, Les brigades fantômes, La dernière colonie et Zoé. Ce n’est pas une tétralogie à proprement parler : chaque roman peut être lu indépendamment. Toutefois, comme les trois premiers se suivent dans le temps et que certains personnages reviennent, il vaut mieux commencer par le premier, qui est aussi le meilleur. Le vieil homme et la guerre La première phrase accroche immédiatement le lecteur : « J’ai fait deux choses le jour de mes soixante-quinze ans : je suis allé sur la tombe de ma femme. Puis je me suis engagé ».

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Vieil homme et la guerre (Le)

Le titre est déjà parfait, bien meilleur que la version originale (Old Man’s War - littéralement, La Guerre du Vieil Homme) et le reste est de très bonne facture. Il y a de l’Hemingway dans ce récit de John Scalzi et c’est bien pour ses réelles qualités de conteur qu’il a obtenu le prix Hugo et le prix Campbell du meilleur nouvel auteur de SF.

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