Critiques

La quatrième : Kassandre, Georges et Mina. Trois jeunes que tout oppose mais aux destins liés. Séparés par leur naissance et leur milieu social, ils ont en commun un ADN unique à l’origine de leurs pouvoirs. Un ADN qui attise bien des convoitises et va les obliger à fuir pour sauver leur vie. Ka l’aristocrate, Mina la fille de domestique et Georges le fils de personne, ne le savent pas encore mais ils ne sont pas seuls. Ils sont la Génération K.   « Une lecture plaisante ».

Ahh … Sven Tueskoeg et ses faucheurs … J’aurais tant aimé extirper de ma cervelle pareil scénario. Je sais, je sais, vous allez me dire : Ben écris au lieu de nous les arracher sérieux. Et vous savez quoi ? Vous auriez bien raison et vous n’êtes pas les seuls. L’une des aventures de SF que j’adore particulièrement avec La guerre éternelle de Joe Haldeman et le film Aliens de James Cameron (la version longue, cela va de soi).

Depuis presque toujours, Théo et Éda sont les meilleurs amis du monde. Ensemble, ils réinventent leur univers au détour des matins. Mais un jour, Éda disparaît. Prisonnière d'une réalité différente, de l'autre côté des miroirs, elle traîne ses journées dans une cellule aseptisée, prisonnière du Centre de tests génétiques. Des années plus tard, Théo se souvient de cette amie si précieuse et n'a dès lors plus qu'une idée en tête : retrouver Éda, même si pour cela il doit traverser des univers entiers... 

Vous prendrez un étrange virage à 180 degrés...

Robert E. Howard (1906-1936)

Blake est revenu de fouilles archéologiques avec de mauvais souvenirs. Lui, l’ex de membres des forces spéciales, est tombé dans un guet-apens ! Impossible ! Et pourtant. Une terrible blessure et une bien inquiétante guérison, voilà son passif. Le temps passe, plus il se dote d’étranges pouvoirs. Cette plaque d’identification militaire autour du cou en serait la cause. Certes oui ! Un vieil homme va l’approcher et devenir son mentor.

Il n’est pas vraiment usuel de débuter une intégrale par une œuvre qui n’est ni la première ni une des plus importantes de l’auteur concerné. Mais il est vrai que c’est, en revanche, une des plus méconnues et des moins trouvables, puisque les nouvelles qui constituent cette œuvre sont parues en 1960 dans un hebdomadaire féminin, Confidences.

Dans un monde post-catastrophiste, où l’hiver nucléaire a gelé presque toute l’Europe, un régime islamiste dirigé par un soi-disant Philosophe envoie des groupes de Sacrifiés dans les Terres gastes, les zones radioactives du Caucase. Formés de scientifiques traités en cobayes, ces groupes doivent découvrir les nouvelles mutations, les nouveaux virus contre lesquels il faut obtenir des vaccins.

Un voyage exquis dans un passé futuriste !

Bien que le recueil dans lequel figuraient ces trois novellas, The Grandmothers, ait contenu un quatrième texte apparenté à la science-fiction, The reason for it, que j’avais apprécié et que Doris Lessing a toujours cultivée (ouvertement dans sa série « Canopus in Argo » et dans les deux romans Mara et Dann et L’histoire du général Dann, discrètement dans d’autres œuvres comme les Mémoires d’une survivante), ce recueil français ne contient que les trois études psychologiques et sociologiques sur les mésaventures qu’entraîne l’amour pour les femmes, des rappels des problématiques liées aux diff