Critiques

Ce livre contient deux romans écrits dans les années quatre-vingt et non publiés à l’époque. Projet Espoir retrace le parcours de Cham, jeune garde au service des Maîtres d’une Cité post-apocalyptique, où la violence règne en maîtresse absolue. Les radiations nucléaires ont transformé les humains en mutants terrifiants et sanguinaires. Cham est chargé d’éliminer le Sacrificateur, mystérieux leader des bas-fonds qui veut détruire les Maîtres. Le jeune policier découvrira que son monde est loin d’être aussi simple qu’il en a l’air.

La déesse Eniripsa et le seigneur démon Rushu entament une partie de Dofus. Eniripsa n’a qu’un désir, la paix dans le monde. Rushu, vous l’aurez compris, il préfère foutre le bordel. Mais pour pouvoir foutre le bordel, Rushu a besoin d’âmes. Alors il en parie deux avec Eniripsa et lance la partie avec l’envoi d’une petite horde de démons. Face à eux, les démons ont à faire à Sven Flowa, un petit rejeton tout vert, tout mignon, plus docile qu’une tortue d’eau douce. En apparence en tout cas, car une fois qu’il invoque ses poupées mordeuses, gare à vos fesses !

En compagnie des hommes Contamination

Charlie Bone a 10 ans. Il descend d’une famille qui a des pouvoirs surnaturels, les descendants du Roi Rouge. Un jour, alors qu’il prépare la carte d’anniversaire de son meilleur ami, il entend la personne sur la photo parler et découvre ainsi son pouvoir. Comme son père est mort et sa mère dépend financièrement des oncles et tantes de son père, il est contraint de rejoindre un collège spécial, l’école Bloor. Avec ses nouveaux amis, Olivia, Fidelio, Benjamin et son chien Zaricot, Charlie va y découvrir une orpheline vendue par son propre père et tenter de la sauver.

Comment vous décrire Maliki ? Maliki, elle est fofolle, rigolote, agitée comme une puce, complètement barrée dans sa tête et surtout, elle respire la joie de vivre. Alors, Maliki, comme elle s’éclate dans la vie, elle décide de se dessiner et de tout vous raconter. Tout sur sa vie, sa vie avec ses chats, sa vie avec Ladybird, sa vie avec son père, le godzilla des temps modernes, tout, tout, tout.

Cette jeune auteur américaine d’origine japonaise a sorti, avec grand succès, ses premiers romans en 1996, et a tout de suite obtenu une notoriété méritée des deux côtés du Pacifique, avec par exemple le Locus Award for best first novel avec The Borg experiment ; elle a aussi obtenu le Nebula de la meilleure novelette en 2000 avec son court roman Godesses (téléchargeable gratuitement en anglais sur son site). Il n’aura fallu qu’un peu plus de dix ans avant qu’un éditeur français finisse par faire traduire un de ses romans.

Okhéania est une planète recouverte par un océan de feuilles. Et oui, vous avez bien entendu ! Des milliards de feuilles qui, portées par les vents, forment des vagues à perte de vue et parfois des tsunamis. C’est un tsunami auquel sont confrontés Jasper et Jon, en début d’histoire. Les deux garçons sont de jeunes surfers. Ils s’entrainent l’un l’autre pour aller toujours plus loin, lorsque la vague géante s’abat sur eux. A son réveil, Jasper est dans un navire militaire réquisitionné par l’Imperator en personne. L’imperator régne sur Okhéania.

Shori a le corps d’un enfant de 10 ans. Elle est noire et amnésique. Elle se réveille dans une forêt, privée de la vue, souffrant de fractures du crâne, brûlures et blessures multiples et ne supportant pas le soleil. Seule une épouvantable faim la motive et elle chasse, à moitié inconsciente, pour se nourrir de viande fraîche. Elle erre sur la voie rapide, sans savoir ni qui elle est ni ce qu’il lui est arrivé. Elle rencontre ainsi Wright, 23 ans, qui deviendra le premier symbiote de sa seconde vie.

Après la guerre de Sécession, Scébanja, un ancien esclave noir ayant combattu avec l’armée Nordiste, revient dans son Sud natal. Il est simple comme un enfant et pense que le monde a changé d’un coup de fusil, comme la guerre a changé les lois, banni la ségrégation , affranchi les esclaves. Il a gagné sa liberté et de l’argent mais on est libre quand on s’intègre, pas quand on s’impose à des civilisations profondément hostiles. Pierre Pelot évoque ici le tout début du Ku Klux Klan et le racisme qui n’est jamais vraiment sorti de l’esprit de tous les Américains.

Passeport pour l’Enfer Voyage au-delà des vivants