Soumis par Chris de Savoie le jeu, 08/08/2024 - 06:00
Après sa version écrite, Neil Gaiman propose avec P.Craig Russe) une version BD de la mythologie viking, un univers qui l’a tant inspiré.
Soumis par Chris de Savoie le sam, 17/12/2022 - 06:00
De la création du monde à sa disparition inéluctable, les quinze récits qui composent ce livre couvrent de nombreux aspects de la mythologie viking.
Soumis par Michael Fenris le dim, 22/11/2020 - 06:00
Sous-titré « fictions courtes et dérangements », Signal d’alerte est un recueil de vingt-quatre nouvelles écrites par l’auteur britannique Neil Gaiman, et dont les distinctions tiennent à peine sur une page, entre les prix Hugo, Nebula et autres Locus. J’étais donc assez curieux de découvrir son univers. D’emblée, dans une (très) longue préface qui informe aussi des processus créatifs, l’auteur nous livre ses réflexions sur les histoires, la façon dont on les imagine, on les envisage ou on les vit. Une sorte de mise en garde sur ce qui attend le lecteur.
Soumis par Chris de Savoie le ven, 16/10/2020 - 06:00
A défaut de l’entendre, "L’art compte" permet de lire et de regarder Neil Gaiman.
Soumis par Georges Bormand le jeu, 04/06/2020 - 06:00
Il s’agit d’un recueil de nouvelles « courtes et dérangeantes », variées, fantastiques ou de science-fiction. Après une longue introduction qui avertit le lecteur de tous les pièges et de toutes les surprises que contiennent ces textes (il aurait mieux valu les disperser en préface de chaque nouvelle), le livre nous propose donc un certain nombre de variations, souvent à partir d’une idée déjà référencée ailleurs, ou dans une autre œuvre de Gaiman. La dernière nouvelle, en particulier, fait intervenir Ombre, le personnage central d’American Gods.
Soumis par Chris de Savoie le lun, 06/04/2020 - 06:00
Il y a eu J.R.R. Tolkien et Terry Pratchett. Il y a encore Neil Gaiman, fantastique créateur d’histoire et faiseur de monde. Voici un recueil « de fictions courtes et de dérangements » (sic).
Soumis par Georges Bormand le ven, 08/07/2016 - 06:00
Wall est un gentil village niché au cœur d’une calme forêt anglaise. Mais dans la forêt, il y a un mur, avec une porte qui sépare notre monde de celui de la Féérie, monde de fées, de sorciers et sorcières, licornes et princes sanguinaires. Tous les neuf ans, une Foire permet aux habitants de Wall de rencontrer ceux du monde de Féérie. Tristan Thorn, qui veut aller chercher dans le monde de Féérie l’étoile filante promise à sa bien-aimée, ne veut pas attendre, va franchir le mur et se lancer dans cette quête qui lui apportera bien des surprises.
Soumis par Véronique De Laet le ven, 15/01/2016 - 06:00
Ah ça, ce n’est pas un livre qu’on choisit pour son histoire, enfin pas en priorité (écrire la chronique avec une main, ce n’est pas facile*).
Neil Gaiman est un « personnage », dans tous les sens du terme : personnalité, charisme, et aussi ce « s’il n’existait pas, faudrait l’inventer ». Parce qu’il vous sert un récit pas follement original mais originalement fou.
Soumis par Johanna Almos le dim, 04/01/2015 - 20:20
Neil Gaiman aime à écrire sur l'enfance, sa magie et ses terreurs. Des ouvrages tels que Coraline ou L'étrange vie de Nobody Owens ont déjà montré de la prédilection de Gaiman pour cette période de la vie où tout n'est que rêves et fantasmes.
L'Océan au bout du chemin, paru au Diable Vauvert en octobre 2014 alors que l'auteur s'apprête à fêter son cinquante-quatrième anniversaire, est plus que tout un récit sur l'âge tendre. C'est un roman initiatique autant que fantastique.
Soumis par Georges Bormand le ven, 25/07/2014 - 00:00
Au niveau basique, c'est l'histoire d'un individu qui se trouve impliqué sans savoir pourquoi dans un affrontement entre d’« Anciens Dieux » installés aux USA par les vagues d'immigration successives qui ont peuplé le continent américain et de « Nouveaux Dieux », nés des technologies modernes (cinéma, radio, télévision, comics, jeux vidéo)... Et qui vont se trouver entraînés dans une guerre plus ou moins artificiellement organisée par deux « tricheurs », Odin et Loki, lesquels doivent tirer profit des morts qui leur seront « dédiées ».
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