Stardust
Wall est un gentil village niché au cœur d’une calme forêt anglaise. Mais dans la forêt, il y a un mur, avec une porte qui sépare notre monde de celui de la Féérie, monde de fées, de sorciers et sorcières, licornes et princes sanguinaires. Tous les neuf ans, une Foire permet aux habitants de Wall de rencontrer ceux du monde de Féérie. Tristan Thorn, qui veut aller chercher dans le monde de Féérie l’étoile filante promise à sa bien-aimée, ne veut pas attendre, va franchir le mur et se lancer dans cette quête qui lui apportera bien des surprises.
Que dire de ce conte, fort joliment adapté au cinéma ? Qu’il ne dépare pas l’œuvre si riche de Nail Gaiman, que je ne vais pas détailler. Et qu’il est un « conte de fées » de notre temps, même s’il se passe il y a cent ans.
Stardust, par Neil Gaiman, traduit par Frédérique Le Boucher, J’ai lu n°6827, réédition 2016, 223 p., 5€80, ISBN 978-2-290-00597-2
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