Moriarty, Le chien des d'Urberville

Génie du crime, prince des malfaisants, le Professeur Moriarty est une légende londonienne dans cette fin de dix-neuvième siècle.   Le colonel Moran, baroudeur endurci, chasseur dans l'âme, est recruté par Moriarty pour le seconder dans la Firme, son entreprise scientifique du crime. Moran partage alors tous les événements clés de la carrière de Moriarty, et décide sur le tard de les mettre sur papier.  

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Vivant (Le)

Présenté comme une dystopie post-apocalyptique, il s’agit en fait d’une tentative de roman post-singularité car la catastrophe qui a provoqué, plusieurs siècles plus tôt, la « Grande Compression ».

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R.I.P Alan Rickman 21 février 1946/14 janvier 2016

  Alan Rickman nous a quitté le 14 janvier 2016. Excepté ses rôles dans Harry Potter - je n'ai pas aimé du tout la saga -, je l'ai adoré dans « Piège de cristal » de John Mac Tiernan ainsi que « Calendrier meurtrier ». Il était plutôt dans le style théâtral et rarement au cinéma, mais le peu qu'il y a été, il l'a fait avec brio. Toute l'équipe de Phénix se joint à moi afin de présenter nos sincères condoléances à sa famille et à ses amis.  

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Par bonheur, le lait

Ah ça, ce n’est pas un livre qu’on choisit pour son histoire, enfin pas en priorité (écrire la chronique avec une main, ce n’est pas facile*).   Neil Gaiman est un « personnage », dans tous les sens du terme : personnalité, charisme, et aussi ce « s’il n’existait pas, faudrait l’inventer ». Parce qu’il vous sert un récit pas follement original mais originalement fou.

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Santé par les plantes (La)

Publié comme un roman noir, ce livre comporte effectivement deux morts, dont celle d’un détective « botanique ». Mais il s’agit avant tout d’une farce, macabre, qui mêle deux PDG de multinationales pharmaceutiques rivales, dont l’un accablé d’une constipation chronique d’origine psychiatrique, un pseudo-biochimiste récidiviste de l’escroquerie scientifique, deux malfrats fondateurs et seuls membres d’un groupe terroriste « écologiste », le Front Chlorophyllien.

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De 2015 à 2016 avec Stéphane Croenne

Bonjour à toutes et à tous,   En 2015, grâce à Phénix Mag, j’ai pu lire et chroniquer Je suis la reine, d’Anna Starobinets (excellent recueil) et je suis en train de lire La voix de l’Empereur de Nabil Ouali, que je chroniquerai dès que possible.

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Lutins noirs (les), Lutins urbains T3

Les petits hommes attaquent une nouvelle fois. Mais enfin, il faut retrouver le rhinocéros perdu dans l’épisode précédent parce que… ce  n’est pas un rhino mais un lutin transformiste qui ne peut reprendre sa forme originelle. Sus aux pauvres d’esprit, incapables de voir les lutins, ou au cerveau (dé)lavé ! Sauvons la planète et Chelou !  

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De 2015 à 2016 avec Valérie Simon

Lorsque Phénix-Web m’a demandé de parler de 2015 s’éloignant et de 2016 arrivant, je me suis vite rendue compte que mes souvenirs étaient à la fois très beaux et très moches. Les beaux concernent une année professionnelle qui m’a énormément plu, avec deux publications majeures et énormément d’aventures littéraires, y compris des moments géniaux passés avec des lecteurs, des libraires, des éditeurs et des auteurs. De ce côté-là, vraiment, ce fut géant.

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Crime & seduction

Difficile d’échapper en cette fin d’année au livre consacré à Robert E. McGinnis. Un beau livre qui traite de la production graphique d’un grand illustrateur et peintre américain. Il est présenté par Art Scott et édité chez Urban Books. C’est la version française de « The art of Robert E. McGinnis » publié en 2014 chez Titan Books.

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