Critiques

Né en 1957, Jean-Louis Fetjaine a commencé sa carrière littéraire pour le biais de textes « humoristiques », Le Guide du jeune père par exemple. C’est en 1998 qu’il commence sa carrière dans le domaine de la fantasy avec sa célèbre trilogie des Elfes, d’ailleurs saluée par un Prix Ozone en 2000. En 2003 paraissent Le Pas de Merlin qui a remporté le Prix du meilleur roman de fantasy – Imaginales 2003 et en 2004, sa suite, Brocéliande.

Il fallait s’y attendre !

Le comte de Champignac vient de récupérer un manuscrit de 1865 écrit par Zorglub. Ce dernier a créé une machine à voyager dans les failles temporelles. Manque de pot, sa nouvelle expérience a mal tourné et le voici prisonnier du temps. Spirou et Fantasio, épaulés par leur ami le Comte de Champignac, vont devoir remonter le temps, dans le Paris de 1865, afin de sauver Zorglub des griffes du terrible « Crève-bedaine ».

Les humains ont essaimé la galaxie, par l’intermédiaire d’une race extraterrestre surnommée les Tritons, jaloux de leur monopole total du voyage interstellaire au point de détruire systématiquement tout vaisseau humain tentant d’en percer le secret. On dit même qu’ils auraient été jusqu’à éradiquer une planète entière.

Pour se faire de l’argent, Capucin pille les églises. Il en tire des trésors fabuleux qu’il revend des sommes dérisoires à des marchands sans scrupules. Cet argent, il le dépense dans les tavernes. C’est là qu’il découvre la bière, cette enivrante boisson à l’odeur nauséabonde. Il en boit jusqu’à devenir saoul. A son lendemain de cuite, le réveil est difficile. Merlin, venu récupérer sa baguette magique, lui balance un seau d’eau à la tronche et menace de l’ensorceler s’il ne lui rend pas son bien. Manque de pot, Capucin s’est fait voler la baguette dans la nuit.

Ici Copycat Soupçons

C’est l’histoire d’un mec… d’un flic plus exactement, du genre à fermer les yeux sur les méfaits dont il est témoin pourvu qu’il touche les honoraires assurant sa discrétion, du genre à tremper dans tous les trafics lucratifs de Larsande, planète dont il est – fort opportunément – le chef de la sécurité. Du genre à s’être, au fil du temps, constitué un confortable pactole de nature à améliorer sa maigre retraite de fonctionnaire. Du genre enfin à avoir trempé les pattes dans un pot de miel qui, cette fois, lui était vraiment interdit.

Frère Joyeux n’est pas un mauvais bougre. Il est un fieffé menteur, mais il a bon cœur. Son argent, il le donne aisément. Même si jamais il ne se laisse abuser. Un jour, il accepte de partager son dernier morceau de pain avec un magicien. Avant de quitter cet hôte si charitable, le vieux sorcier ensorcelle la besace de Frère Joyeux et conclut par ces mots « Je t’accorde que tout ce que tu voudras avoir dedans s’y trouvera… » Un don dont Frère Joyeux saura faire mille usages.

Roman initiatique, roman mystique, roman alchimique : « Le Magicien du 5ème Règne » nous entraîne sur les pas de Solem, jeune architecte parisien lancé dans une quête qui le mènera à la découverte de lui-même.

Londres, 1716. Jack Lafler, surnommé « La Fleur », est un jeune botaniste. Il rêve de parcourir le Nouveau Monde en quête des plus belles fleurs. Six mois plus tard, en guise de rêve, il est fait prisonnier par des pirates. Ces derniers s’apprêtent à l’exécuter, puis à l’enterrer sur une île déserte lorsqu’ils découvrent l’impensable : une tête sans corps qui parle. Les pirates s’enfuient abandonnant « La Fleur » à la créature.