Critiques

100 perles de sagesse

Grande fan d’humour « brèves de comptoir », de pensées absurdes, je me réjouissais de commencer ce livre.

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Bâtard de Kosigan (Le)

En 1339, la Champagne est dirigée par la comtesse Catherine, veuve d’un mari trop tôt disparu. Afin d’assurer la sauvegarde de son domaine, Catherine a décidé de marier sa fille. Les deux prétendants sont le cousin du roi de France et un noble bourguignon. Pierre Cordwain de Kosigan, bâtard et capitaine renommé d’une troupe de mercenaires, va devoir manœuvrer avec finesse entre les forces en présence pour influencer le choix sans mourir.

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Village évanoui (Le)

Comme nos lecteurs le savent, j’apprécie beaucoup Bernard Quiriny, depuis ses Contes carnivores, salués ici même, et Prix Rossel 2008. Si son roman Les assoiffées m’avait un peu déçu, j’avais été très enthousiasmé par le recueil Une collection très particulière, chef-d’œuvre de fantaisie joyeuse et goguenarde et, sans conteste, sa plus belle réussite à l’heure actuelle.

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Meurtre à la sauce cajun

Jodi Taylor, vedette de la télévision, charge le détective privé Elvis Cole de retrouver ses véritables parents qu’elle n’a jamais connus. En Louisiane, Elvis découvre que quelqu’un fait chanter non seulement Jodi, mais aussi le shérif local. La première parce que son père était noir, le second... parce qu’il vit actuellement avec la mère (blanche) de Jodi. Le maître-chanteur est un odieux personnage qui rappelle les vendeurs d’esclaves des pires heures du Sud des États-Unis.

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Sans coeur, Alexia Tarabotti T4 (poche)

Lady Alexia Maccon a de nouveau des problèmes. Mais cette fois, elle n’y est vraiment pour rien. La reine est menacée par un fantôme fou. Alexia se charge de l’enquête qui va la faire remonter jusque dans le passé de son époux. Pendant ce temps, sa sœur rejoint le mouvement des suffragettes, Madame Lefoux met au point sa dernière invention mécanique et des porcs-épics zombies envahissent Londres, le tout une nuit de pleine lune. Sans compter qu’Alexia doit déceler ce qui a élu résidence dans le deuxième dressing préféré de Lord Akeldama.

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Central Park

Guillaume Musso est un excellent auteur. Voilà. Est-ce si difficile à écrire ? À admettre ? À défendre ? Certes, il n’obtiendra jamais le prix Goncourt.. Et franchement, il est le premier à le déclarer. Certes, il ne passe pas ses journées à écrire sur son nombril, ou à ciseler des opuscules de 150 pages emplis d’autosatisfaction béate. Certes, il ne tricote pas des romans à clé, où la moitié du petit monde littéraire parisien cherche à débusquer l’autre moitié dans des situations sexo-scabreuses.

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Voltaire et l'Islam

Au hasard de mes pérégrinations au long des nombreux stands, à la dernière Foire du livre de Bruxelles, je tombai sur celui d’une librairie arabe. Un titre, Voltaire et l’Islam, m’interpella tout de suite : j’ignorais complètement que les rapports de Voltaire avec la religion de Mahomet avaient fait l’objet d’une étude approfondie et, qui plus est, de la main d’un auteur musulman. Djavâd Hadidi, né en 1932, est un lettré iranien, qui soutint cette thèse à la Sorbonne en 1960.

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Ne t'éloigne pas

Alors que les rayons des librairies se parent du Coben de saison en grand format, Pocket offre, en toute logique, aux lecteurs de découvrir la cuvée 2013 au format de poche. La formule Coben est connue depuis le succès de « Ne le dit à personne » : un démarrage en trombe et des personnages apparemment sans histoire qui voient leur vie bouleversée par un événement du passé. La qualité de chaque roman dépend alors du caractère des héros, de l’originalité du traitement et surtout de la crédibilité du « secret » dévoilé.

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Flamme chantante (La)

Déjà parue dans l’anthologie Les meilleurs récits de Wonder Stories (J’ai lu) et dans le recueil L’île inconnue (Néo), cette novella est l’un des plus longs textes du Maître d’Auburn. La majeure partie des contes et récits fantastiques de Clark Ashton Smith (1893-1961) date des années 1920-1935. Il s’y révèle un puissant créateur d’univers, délaissant l’intrigue stricte au profit de la description et de l’évocation de mondes perdus ou parallèles. Tout baigne dans une atmosphère glauque et déliquescente, dans une odeur de pourriture et de mort.

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LAP ! T1

Ou quand une dessinatrice de BD, Aurélie Aurita, intègre le Lycée Autogéré de Paris, dit LAP (non pas L.A.P. ! LAP, en onomatopée) pendant une année et porte un regard critique et tendre à la fois sur ce type d’enseignement très particulier : pas d’obligation de présence aux cours, sélection par tests et entretien de motivation pour les quelques dizaines de nouveaux à chaque rentrée, élèves qui s’occupent de l’entretien, profs de la gestion administrative etc.

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