Soumis par Chris de Savoie le jeu, 08/08/2024 - 06:00
Après sa version écrite, Neil Gaiman propose avec P.Craig Russe) une version BD de la mythologie viking, un univers qui l’a tant inspiré.
Soumis par Georges Bormand le mar, 04/06/2024 - 06:00
Ann Leckie revient dans l’univers du Radch, mais en dehors du dit Radch, ce qui lui permet de présenter de manière plus fouillée les Presgers et leurs Traducteurs, et aussi de poser de manière un peu plus complexe les questions de gendre[1], puisque, en dehors du Radch, les différents gendres sont désignés par des termes différents et non plus uniformément par le féminin. Ce roman est donc nettement plus complexe que la trilogie de l’Ancillaire.
Il comporte trois personnages principaux, dont les points de vue alterneront, ainsi qu’occasionnellement ceux d’autres personnages.
Soumis par Georges Bormand le lun, 18/09/2023 - 06:00
Voici un livre, comme À la pointe de l'épée qu'il prolonge en en reprenant cadre et certains personnages, qu'on classe abusivement dans la « fantasy ». Il s'agit en fait d'un roman « historique », même s'il est placé dans un pays imaginaire, une Angleterre du dix-septième siècle qui aurait connu une révolution « bourgeoise » (en fait aristocratique, ce sont les nobles qui contrôlent le Parlement). On y trouve les techniques de l'époque, les superstitions (en fait moins évoquées que dans le premier roman), mais aucun être surnaturel, aucune magie.
Soumis par Chris de Savoie le sam, 17/12/2022 - 06:00
De la création du monde à sa disparition inéluctable, les quinze récits qui composent ce livre couvrent de nombreux aspects de la mythologie viking.
Soumis par Georges Bormand le mar, 27/07/2021 - 06:00
Il est dommage que les œuvres de John Varley paraissent si rarement, ce qui fait qu’en lisant cette œuvre récente je n’ai plus bien en mémoire les précédentes occurrences de l’univers des « huit mondes » où elle se place, Le canal Ophite, Gens de la Lune, Le système Valentine. Faut-il rappeler que ces « huit mondes » sont les lieux où survit l’humanité après l’invasion de la Terre ?
Soumis par Sophie Ruaud le sam, 24/07/2021 - 06:00
« Au septième jour, une nuée de corbeaux jaillit des tours de Peyredragon pour propager la parole de lord Aegon aux sept couronnes de Westeros. Ils volaient vers les sept rois, vers la citadelle de Villevieille, vers les seigneurs tant petits que grands. Tous apportaient le même message : à compter de ce jour, il n’y aurait plus à Westeros qu’un roi unique.
Soumis par Georges Bormand le mar, 29/06/2021 - 06:00
Si j’avais encore besoin d’une preuve que la fantasy est une branche de la littérature mainstream, ce roman picaresque, plus proche de Walter Scott ou d’Alexandre Dumas que de Tolkien, de Dunsany ou du Howard de Conan, avec une part de critique de la société britannique du dix-huitième siècle à la manière de Jane Austen, et du camouflage d’un pays imaginaire digne du Prisonnier de Zenda, toutes œuvres « reconnues » comme « littéraires », me confirmerait dans ma perception du gouffre entre le bloc « littéraire » mainstream-fantasy et le bloc spéculatif SF-fantastique.
Soumis par Georges Bormand le ven, 27/11/2020 - 06:00
Peut-on classer en fantasy ce roman d’un monde ancien, habité par des « dieux » animistes plus ou moins grands, qui auraient succédé à d’Anciens Dieux dignes de mondes lovecraftiens ? Où les pouvoirs de ces dieux reposent sur l’énergie que leur fournissent prières et sacrifices et où les dits dieux doivent gérer leur dépense d’énergie et ne peuvent réaliser leur volonté que de la façon la moins coûteuse possible ?
Soumis par Michael Fenris le dim, 22/11/2020 - 06:00
Sous-titré « fictions courtes et dérangements », Signal d’alerte est un recueil de vingt-quatre nouvelles écrites par l’auteur britannique Neil Gaiman, et dont les distinctions tiennent à peine sur une page, entre les prix Hugo, Nebula et autres Locus. J’étais donc assez curieux de découvrir son univers. D’emblée, dans une (très) longue préface qui informe aussi des processus créatifs, l’auteur nous livre ses réflexions sur les histoires, la façon dont on les imagine, on les envisage ou on les vit. Une sorte de mise en garde sur ce qui attend le lecteur.
Soumis par Chris de Savoie le ven, 16/10/2020 - 06:00
A défaut de l’entendre, "L’art compte" permet de lire et de regarder Neil Gaiman.
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