Des mystifications littéraires
Formidable pavé, oeuvre d’une vie, sans doute. Incarnation d’un rêve de toujours, de jeunesse aussi, comme l’explique Jacques Finné dans sa brève mais très dense préface. Car les mystifications sont éternelles, de Plutarque jusqu’au Bye Bye Belgium de 2006, et le thème le fascine, en littérature comme en d’autres arts (peinture, musique).
« Le fait d’abuser de la crédulité de quelqu’un pour s’amuser à ses dépens ». Ainsi l’auteur définit-il son sujet, non sans appréhension.
L’ouvrage (plus de 500 pages bien serrées) se divise en trois parties.