Littérature de l’Imaginaire

Titre Date uid de l'auteur
Draconia, L’héritier des Draconis T1

Difficile de mener une vie paisible lorsque l’on a des flammes dans les yeux à la moindre crise de colère... et que l’on donne vie aux images et sculptures de reptiles d’un simple regard !

ROZENFELD Carina
23/05/2017 51
Espace d’un an (L’)

La description d’une Union galactique entre plusieurs espèces différentes et de la difficulté pour l’espèce humaine d’y trouver sa juste place, ni au sommet ni au plus bas, est déjà un thème classique de la science fiction. James White, David Brin, Carolyn J.

CHAMBERS Becky
19/05/2017 48
Au bal des actifs, demain le travail

Disons-le tout net : cette anthologie ne se limite aucunement à l’évolution du travail, ou plutôt de l’emploi, mais vise toutes les transformations possibles de la société, toutes les formes d’utopies ou de dystopies (y a-t-il vraiment différence entre les deux mots, quelle utopie ne possède pas assez d’aspects négatifs, de « côtés sombres », pour être aussi une dystopie, et quelle dystopie ne conserve pas une lueur d’espoir, que ce soit dans sa chute ou dans son évolution ?).  

ANTHOLOGIE
17/05/2017 48
Cri du corps mourant (Le)

Le petit frère de Puce a disparu. Enlèvement ou pire ? Elle n’en sait rien. Devant l’incompétence de la police qui n’ose pas entrer dans le quartier où François a été vu pour la dernière fois, Puce, aidée par quatre camarades, se doit de retrouver son frère. Ils affrontent un quartier où les questions ne trouvent pas obligatoirement des réponses, où la police n’aime pas que cinq jeunes empiètent sur leur gazon.   J’ai fais un petit voyage dans le temps. Je me suis revu adolescent.

AUDIARD Marcel
16/05/2017 11
Etoîles s'en balancent (Les)

Me voilà ravi de découvrir enfin un auteur dont je ne connaissais pas grand-chose, excepté qu’il a reçu le prix Masterton 2016.   La terre n’est plus. Toutes les puissantes industries et les politiques se sont effondrées. Une révolution internationale en a eu ras-le-bol de ces grands parleurs, ces nantis, tous aux services des sacro-saintes places boursières. Tout cela n’existe plus. L’homme tente avec désespoir de recréer un monde hiérarchisé.

WHALE Laurent
13/05/2017 11
Autre côté du paradis (L')

Une odeur d’herbe humide, la fraîcheur sous son dos, au gazouillis léger de quelques oiseaux, Fany s’éveille au milieu de nulle part. Pétillante et intuitive, la jeune femme est profondément humaine dans ses doutes, ses craintes et ses paradoxes. La voici debout. Hésitante, intriguée, elle ose le premier pas qui va l’engager sur une voie sans retour possible. Persuadée de rêver, elle entame le voyage insolite… Très vite, les rencontres bouleversantes s’enchaînent, l’aventure se pimente et ce périple prend rapidement des allures trépidantes et engagées.

BADOT Yannick
12/05/2017 94
Kalpa Impérial

Voila un livre qu’on classe sans hésiter fiction spéculative, mais qui, pas plus que Les soldats de la mer d’Yves et Ada Rémy, La horde du contrevent, d’Alain Damasio, ou les Histoires orsiniennes d’Ursula Kroeber Le Guin – qui en a d’ailleurs assuré la traduction et la promotion aux États-Unis – ne saurait être classé fiction scientifique. Est-il besoin de rappeler que l’appellation SF couvre toutes ces œuvres, bien mieux que l’appellation fantasy, même prise au sens anglais ?  

GORODISCHER Angelica
11/05/2017 48
Jour Quatre

Piscine, excursions, soirées spectacles, bar à cocktails, cours de fitness, et même un casino ! Le Rêveur Magnifique portait bien son nom, et promettait une croisière paradisiaque aux heureux touristes embarqués à son bord. Mais le quatrième jour de la traversée, un incendie se déclare en salle des machines et jette le paquebot à la dérive. Les communications avec l'extérieur sont rompues – aurait-on dérivé jusqu'au triangle des Bermudes ? Un meurtre, une épidémie, puis l'apparition chronique de fantômes dans les couloirs inférieurs achèvent de transformer le rêve en cauchemar.

LOTZ Sarah
10/05/2017 7
Camp (Le)

Entre policier et SF, un beau suspense !

NICOLAS Christophe
09/05/2017 5
L'ampoule n° 22

Difficile de chroniquer un recueil de nouvelles tant les genres s’entrecroisent. Heureusement, il y a un fil rouge. Ici, les deux premières histoires sont écrites en une prose digne de Victor Hugo. Seulement, on ne s’improvise pas Victor Hugo en écrivant de belles phrases pompeuses. Et surtout, une fin en queue de poire. Dommage, le style était parfait.   Les nouvelles suivantes m’ont vite fait oublier ce début. Elles s’enchaînent à une vitesse vertigineuse.

AMPOULE
08/05/2017 11

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