Soumis par Georges Bormand le ven, 31/05/2024 - 06:00
L’histoire se passe en 1648, quand l’Allemagne est à feu et à sang du fait de la Guerre de Sept Ans. Ulrich von Bek est un capitaine de mercenaires qui, après le massacre de Magdebourg et au moment où la peste se répand dans le pays, abandonne ses propres troupes et cherche un endroit calme et sain. Il va découvrir un curieux château au milieu d’une forêt sans vie et y rencontrer Lucifer, l’Ange déchu, qui lui propose un étrange marché : si von Bek lui apporte le Graal qui devrait soigner la douleur du monde, lui, Lucifer, obtiendra le pardon de Dieu et libérera von Bek
Soumis par Georges Bormand le lun, 12/11/2018 - 14:15
Sous le titre Images de la Troisième Guerre mondiale, trois des six nouvelles qui composent ce roman étaient déjà parues chez Mille et une nuits. Elles reparaissent complétées de trois autres et des illustrations de Miles Hymans – fort belles images qui, il est vrai, ne surpassent pas les images mentales qu’appelle le texte. Texte qui répond d’ailleurs au titre initial : il donne quelques images de l’effondrement d’un mode, effondrement tellement avancé qu’on a peine à croire l’introduction qui annonce un monde reconstruit dans lequel on retrouve les récits du narrateur.
Soumis par Marc Van Buggenhout le jeu, 18/10/2018 - 06:00
Denoël nous publie dans la collection Graphic un livre de Michael Moorcock, Kaboul et autres souvenirs de la Troisième Guerre mondiale, livre illustré par Miles Hyman. Il s’agit d’une suite de nouvelles qui ont comme trait commun un agent secret.
Soumis par Marc Van Buggenhout le jeu, 06/10/2011 - 16:18
Voici le retour d’un de mes personnages préférés en fantasy : Elric des dragons. Cycle de Michael Moorcock publié dans les années 70 chez Pocket, récemment réédité en Omnibus. Cette fois-ci, je retrouve le Melnibonéen accompagné de Tristelune, son fidèle compagnon. Aux commandes de cette histoire, toujours Michael Moorcock, mais accompagné de Fabrice Colin. N’ayant jamais rien lu de ce dernier, je n’arrive pas à deviner ce qu’il a apporté à cette histoire. Mais comme c’est bien écrit, c’est peut-être tout simplement le but recherché par les deux auteurs.
Soumis par Christophe Corthouts le sam, 21/05/2011 - 18:34
Lectrices et lecteurs, le sujet de notre conférence du jour s’intitule : « Pas de pression ». Exemple par l’absurde : Fabrice Colin, auteur français de renom, relève le défi, avec l’aide d’un certain Michael Moorcock, d’offrir à l’approbation populaire un nouvel opus des aventures d’Elric, l’Eternel Champion Albinos et son épée maudite, Stombringer. « Pas de pression », on le disait.
Soumis par Franck Boulègue le dim, 20/12/2009 - 19:26
Deuxième opus de la légende « d’heroic-fantasy » de Dorian Hawkmoon, duc von Köln, grand pourfendeur du Ténébreux Empire de Granbretanne, faisant directement suite au « Joyau Noir », ce « Dieu fou » reprend le récit dans la foulée de l’endroit où nous l’avions abandonné.
Soumis par Franck Boulègue le mer, 19/08/2009 - 17:25
Soumis par Bruno Peeters le mar, 18/08/2009 - 18:14
Deux belles parutions/rééditions cette année chez Omnibus, et qui raviront les amateurs.
Soumis par Bruno Peeters le jeu, 24/07/2008 - 21:27
Créateur d’un fanzine « Burroughsiana » alors qu’il était au lycée, plus tard rédacteur en chef de « Tarzan adventures », Moorcock n’a jamais caché son affection pour E.R. Burroughs et particulièrement pour le Cycle de John Carter. L’heroic-fantasy devenant une seconde nature, parfois alimentaire, il se lance dès 1964 dans la saga d’Elric le Nécormancien, qui resta son plus grand titre de gloire.
Soumis par Bruno Peeters le jeu, 14/12/2006 - 18:29
Le premier, sobrement intitulé "Catastrophes", groupe cinq romans célèbres, que l’on ne présente plus tellement ils font partie intégrante du courant cataclysmique de la SF : La Fin du rêve, de Philip Wylie (1972)
Terre brûlée, de John Christopher (1956)
Soleil vert, d’Harry Harrison (1966)
La Goélette des glaces, de Michael Moorcock (1969)
Génocides, de Thomas Disch (1977)