SOLARIS

Solaris n°181

Thématique : claustrophobie.

Type: 

Solaris n°180

Un numéro particulier en ce sens qu’il commence par une histoire… de la revue même, tout à fait passionnante. Tour à tour, Norbert Spehner, Joel Champetier et Jean Pettigrew retracent la trajectoire d’une revue née sous le nom de Requiem en 1974, et qui est devenue la revue SF battant le record de longévité de Fiction ! Chapeau les Canadiens ! En pleine anticipation, Pettigrew décrit même l’avenir de Solaris jusqu’en 2018 ! Merveilleux enthousiasme dûment mérité.

Type: 

Solaris n°178

Excellent numéro, excellentes nouvelles dans l’ensemble. L’éditorial de Joël Champetier évoque Fukushima. Ouverture sur un texte doux-amer de Geneviève Blouin : un SDF se prend pour un ange. Suit une nouvelle de SF hyper-classique, et que j’ai donc beaucoup aimée : Le Chasseur et la proie d’Adriana Lorusso. Un chasseur prétentieux et imbécile veut se démarquer de chasses à ses yeux stupides consistant à tuer des proies artificielles. Vient le jour où il sera confronté à de “vraies” proies. Chute un peu cou(r)rue d’avance mais parfaitement amenée.

Type: 

Solaris n°177

Si le précédent numéro de la revue canadienne était essentiellement tourné vers la SF, celui-ci est délibérément fantastique. Les nouvelles sont au nombre de neuf et, partant, plus brèves. Malheureusement, aucune n’atteint la densité des trois retenues dans le n° 176. Certaines penchent vers le gore, tel le conte de Noël initial de Frédéric Durand ou Question d’équilibre de Claude Bolduc, d’autres mêlent poésie et onirisme comme Ombres jumelles d’Ariane Gélinas ou La Plage de Sylvain Johnson.

Type: 

Solaris n°176

Philippe-Aubert Côté est “un des auteurs les plus intéressants de la relève de la science-fiction” nous dit Joël Champetier dans son éditorial. Effectivement, nous l’avions déjà remarqué dans le n°168 avec deux textes, l’un purement fantastique, Sa Vie au bout des pinceaux, et un second, Le Premier de sa lignée, authentiquement SF lui, sorte de polar se déroulant dans un monde peuplé d’hommes-animaux.

Type: 

Solaris n°174

Après le 173 plutôt hors normes (voir ma critique toute récente), voici un Solaris ’normal’ et de la plus belle eau, qui plus est, dès la superbe couverture de Gégory Fromenteau. Le rédacteur en chef, Joël Champetier, a décider de le consacrer à la SF... française. Car les débuts de la SFFQ n’ont-ils pas été dominés par des personnalités françaises immigrées telles Norbert Spehner, Elisabeth Vonarburg ou Jean-Marc Gouanvic ?

Type: 

Solaris n°173

Connaissez-vous le « round robin » ? Jeu littéraire bien connu des vieux fans. Un peu sur le modèle des surréalistes et leur célèbre ’cadavres exquis’, un auteur enclenche une histoire qui est poursuivie par plusieurs autres, à l’aveugle. C’est évidemment très gai à rédiger. D’ailleurs, l’équipe de Phénix s’était jadis livré joyeusement à cet exercice : c’était dans notre numéro anniversaire de 1999, le n° 50. Ca ne nous rajeunit pas.

Type: 

Solaris n°172

Un numéro qui démarre en fanfare, par deux nouvelles exceptionnelles.

Type: 

Solaris n°170 et n°171

170 Entrez de plein pied dans l’Imaginaire proclame fièrement la couverture, joliment illustrée par Steve Bolduc. Les deux nouvelles initiales sont en effet bien troussées. Le Boucher de Nicolas Weinberg, un peu gore, est vraiment fantastique, ce qui est rare par les temps qui courent. Et Hoenzolam d’André Dumaine a beaucoup d’atmosphère.

Type: 

Solaris n°168

Ne vous laissez pas effrayer par la couverture très gore de Steve Bolduc, assez impressionnante. Voici un numéro de la belle revue canadienne assez exceptionnel quant à la qualité des nouvelles publiées. Allez directement vers Sa vie au bout du pinceau de Philippe-Aubert Côté : un peintre apprend qu’il a la maladie d’Alzheimer. Sa réaction est un chef-d’oeuvre du fantastique. Et cela en quatre pages seulement ! Le même Côté tente, dans Le premier de sa lignée, une esquisse de polar de SF animale plutôt réussi, avec ses détectives ’néomorphes’.

Type: 

Pages

S'abonner à RSS - SOLARIS