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Conspiration des fantômes (La)

Cet ouvrage de James Herbert constitue probablement la meilleure réussite de l’auteur depuis de nombreuses années. Ceci ne tient toutefois pas au caractère novateur de l’intrigue - une histoire de fantômes comme on en a tant lues. Rien de bien neuf de ce côté-là. Non, le succès de cette « Conspiration des Fantômes » résulte plutôt du juste équilibre trouvé par Herbert entre la confection d’une atmosphère des plus oppressantes et le déroulement d’une action menée par des personnages dotés d’une réelle épaisseur.

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Peur aveugle

C’est un médium, mais il use du côté charlataniste de sa profession pour se faire un maximum d’argent. Seulement, le démon indien Misquamacus a décidé de reprendre sa terre natale. Il déchaîne l’enfer sur les Etats-Unis. Ses légions de démons le précédent et rendent aveugle toute personne se trouvant sur leur chemin. L’apocalypse est déclenchée et les USA connaissent un armaggedon sans précédent. Seul notre médium est en mesure de stopper cette entité démoniaque. Il la connaît. Il l’a déjà vaincue.

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Peur aveugle

Au même instant, des milliers d’Américains perdent la vue. Les avions s’abattent, d’innombrables carambolages se produisent, les communications ne fonctionnent plus. La civilisation américaine est ramenée deux cents ans en arrière du jour au lendemain. Misquamacus, le chaman indien, est revenu à la vie pour exercer une ultime vengeance destructrice sur l’homme blanc qui a massacré son peuple. Mais une fois encore, Harry Erskine est bien décidé à l’en empêcher. 32 ans ! Oui, déjà 32 ans que « Manitou », le premier roman de Graham Masterton débarquait dans les librairies françaises.

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Démon des morts (Le)

Il est veuf. Il est seul sur terre. Alors qu’il noie son chagrin dans l’alcool, sa chère disparue vient lui rendre visite sous la forme d’un spectre. Quelques morts suspectes et voilà notre héros plongé dans une malédiction vieille de presque trois cents ans. Quoiqu’on en dise, Masterton n’a pas son pareil pour nous inventer une malédiction. Il la rend d’une crédibilité à toute épreuve. Jamais je n’ai pensé que cette histoire de démon était construite de toutes pièces. Bien entendu, le style Masterton demeure.

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Flashforward

Ce roman a inspiré une série télé qui n’a pas dépassé la première saison. C’est vrai qu’en le lisant j’ai pensé à un film, qui mélange quelques histoires liées pas trop fouillées. Aucun personnage n’est vraiment approfondi et les épisodes successifs font plus l’effet d’un étalage de réflexions sur des sujets plus ou moins variés et plus ou moins approfondis que du développement d’une idée majeure.

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Portrait du mal (Le)

Ouvrir un Masterton, c’est comme ouvrir le Necronomicon. On n’y trouvera que frayeurs, ténèbres et une ambiance de plomb. Les ingrédients parfaits de la trouille bleue. Celle qui nous fait ouvrir un œil au beau milieu de la nuit lorsque le vent fait bruisser les feuillages d’un arbre. En Europe, une série de meurtres plutôt horribles. Les victimes sont littéralement dépouillées de leur peau. Lorsque les meurtres traversent l’Atlantique pour se perpétrer dans un comté jusqu’ici tranquille, la tension monte et la police est sur les dents.

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Cinquième sorcière (La)

Le nouveau roman du maître écossais de l’horreur nous entraîne à Los Angeles, une cité qui n’a d’angélique que le nom. Les massacres les plus révulsants se succèdent en effet au fil des pages de ce livre à l’efficacité redoutable. Masterton n’a rien d’un visionnaire. A la différence d’un Clive Barker, par exemple, il ne réinvente pas le genre dans lequel il officie. Mais il s’acquitte toujours de sa tâche de raconteur avec punch et brio. Cet opus ne fait pas exception à la règle.

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Livres de Sang, l'intégrale T1

  Ce premier volume comprend trois parties : Livre de sang, Une course d’enfer et Confessions d’un linceul, ce qui représente au total 19 récits. On retrouve une grande variété de thèmes et de sujets, Clive Barker présentant des textes souvent noirs et réalistes, sans dédaigner toutefois un ton plus grinçant. Ainsi dans une Course d’enfer, un coureur représentant l’Enfer essaye de gagner une course à pied afin de marquer l’avènement du règne d’en-bas. Un récit réjouissant malgré l’horreur en arrière-plan.

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Fog

Tout commence lors d’un tremblement de terre qui secoue sans prévenir la campagne britannique. Une faille gigantesque se creuse dans le sol et la voiture que conduit John Holman, employé par le ministère de l’Environnement pour enquêter sur les agissements douteux du ministère de la Défense, plonge dedans. Holman parvient in extremis à s’extirper de ce mauvais pas, au moment où une brume jaunâtre ressemblant au fameux « fog » anglais s’extrait peu à peu des profondeurs…

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