LINDHOLM Megan

Liavek

Ce livre est assez particulier, puisqu’il s’agit de présenter une histoire qui s’inscrit à l’intérieur d’une série ou, plutôt, d’un univers partagé, ce qui n’est pas la même chose. En science-fiction ou en fantasy, il y a deux sortes d’univers partagés : en France, on ne connait que la première sorte, celle qui part d’une œuvre d’un certain auteur que l’auteur a ouverte à l’écriture d’autres écrivains, - professionnels, dans certains univers partagés comme celui des Heroes in Hell, dont les nouvelles et romans se situent dans le cadre de l’Enfer des Légions de l’Enfer de Carolyn J. Cherryh

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Ki et Vandien Intégrale

Dernier magicien (Le)

Comme me l’a écrit Robin Hobb, c’est d’abord un fort agréable guide pour la découverte de Seattle, et une fort jolie « fantasy urbaine », i.e. un roman fantastique contemporain. Le héros est un homme ordinaire qui, revenu moralement brisé de la guerre du Vietnam et incapable de se réinsérer dans la vie « ordinaire », est devenu un clochard, mais aussi le « Magicien des pigeons » car il arrive à les nourrir avec un sac de pop-corn qui ne se vide pas. Mais une créature démoniaque s’insinue dans la ville et le Magicien est le seul capable de l’arrêter ; au prix, peut-être, de son pouvoir.

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Alien Earth

J’avais lu ce roman en anglais bien avant que les œuvres de Megan Lindholm ne rejoignent celles de Robin Hobb sur les étagères des distributeurs français. Sur la page qu’elle a consacrée à ses premières œuvres, celles parues sous son premier pseudo d’écrivain (ses articles de revue étaient signés Astrid Lindholm), Margaret Ogden indique qu’elle demeure partagée sur le sentiment de succès ou d’échec qu’elle doit garder de son unique tentative d’écrire de la SF, publiée aux Etats-Unis par Bantam Books.

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Dieu dans l'ombre (Le)

Contrainte de vivre dans la famille de Tom, son compagnon, Evelyn ne trouve pas sa place dans ce monde rural étriqué où les convenances sont les tuteurs de la vie sociale. Les étendues sauvages de l’Alaska lui manquent ainsi que sa liberté d’être sans contrainte. Même Teddy, son fils de 5 ans lui échappe peu à peu. Evelyn se sent en prison, pire, inutile. De plus en plus étrangère à son mari, les rêves, les souvenirs de la forêt s’imposent. Rêve et réalité se confondent en souvenirs. L’ami imaginaire existe-t-il au-delà de l’enfance ?

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