Love Actually de Richard Curtis

Noël, soyons clair, c’est le meilleur moment de l’année pour se glisser sous un plaid, avec une tasse de chocolat chaud/de café, un plateau de biscuits à portée de main… Et une boite de kleenex pour éponger les grosses larmes de bonheur et d’émotions qui noient les joues à la vision de certains classiques incontournables. Love Actually, de Richard Curtis, fait partie de ces classiques modernes que l’on connait par cœur, mais que l’on revoit toujours avec un plaisir immense.

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Iron Man 3 de Shane Black

Je l’ai déjà écrit sur ce site, Shane Black est un grand amateur de la période de Noël. Presque tous les scénarios qu’il a réussis à vendre aux studios hollywoodiens se déroulent durant la période des boules, des sapins, des rennes et des cadeaux richement emballés. Lorsque Black obtient le double poste de scénariste et de réalisateur de la troisième aventure de Tony Stark/Iron Man, le premier film Marvel qui se déroule après les événements des Avengers, il n’est donc pas étonnant d’apprendre que l’histoire se déroulera… lors des fêtes de Noël.

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Gremlins de Joe Dante

Aaaaah, les années Amblin ! Cette structure de production mise sur pied par Steven Spielberg et portée à bout de bras par Kathlee Kennedy et Frank Marshall a offert aux spectateurs des années ‘80 quelques-unes des plus belles perles du divertissement familial. Mais un divertissement qui n’avait pas peur d’affronter bille en tête des thèmes difficiles ou encore de proposer des scénarios qui auraient bien du mal, aujourd’hui, à passer sous les fourches caudines d’un politiquement correct présent à tous les étages du processus de production.

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Die Hard de John Mc Tiernan

Un véritable OVNI. C’est ainsi que Die Hard est décrit, dans un premier temps par les studios et surtout par les observateurs du monde cinématographique américain. Aujourd’hui, cette première aventure de John McClane est devenue un classique, le « plan de base » pour un millier de copies plus ou moins réussies. A l’époque, imaginer qu’un réalisateur quasi débutant allait transformer un acteur de télévision en une véritable superstar de l’action était tout simplement du domaine de l’absurde.

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10 séries à voir avant de mourir (1)

Jusqu’ici, 9 arts sont comptabilisés (le plus récemment entré dans la liste étant la BD). Je militerais bien pour que le 10ème art soit la série TV. Bien sûr, il y a déjà le cinéma, le 7ème art, et une série, ça n’est jamais qu’un film découpé en morceaux, non ? Pas du tout ! Avec les saisons qui se succèdent, une série peut durer 20 à 50 fois plus longtemps qu’un film ; les possibilités narratives ne sont plus les mêmes, la façon de raconter l’histoire change complètement. La série, c’est le 10ème art ! Et en voici 10 à ne pas louper.

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L’arme fatale de Richard Donner

L’arme fatale est un film scénarisé, dans sa première version, par Shane Black, donc c’est un film qui se déroule durant les fêtes de Noël. Le scénariste, acteur, réalisateur entretient en effet une relation tout à fait particulière avec la période des Jingle Bells et dans ma courte sélection de 15 films pour fêter joyeusement Noël, du 10 au 25 décembre, Black apparaît plus d’une fois.

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Quête des héros, (La) L'anneau du sorcier T1

Thorgrin est un adolescent qui vit dans son village à l’écart de la capitale du royaume. Dernier né de quatre frères, son père le destine au métier de berger car il n’a pas les qualités pour être soldat. Pourtant Thorgrin rêve de devenir membre de la Légion, la troupe d’élite qui protège le Roi McGil. Il est prêt à tout pour ça, même à désobéir à son père. Le jeune garçon ignore que son rêve l’entraînera vers des aventures inattendues.

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Ganesha

En 2000, Xavier Mauméjean, l'un des meilleurs écrivains français de l'Imaginaire, avait remporté le Prix Gérardmer, avec Les mémoires de l'homme-éléphant. En voici la réédition, sous un autre titre.

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Légitime Démence

Légitime critique ? Pour qu’elle le soit, vous devez savoir que je connais Nathalie Marly. Nous ne sommes pas « amis proches » mais nous nous sommes rencontrés chez le même éditeur (je vous parle d’un temps que les moins de vingt ans…) et nous avons toujours gardé le contact. Un contact d’autant plus facile que nous rions souvent des mêmes choses… Et que l’écriture nous fascine autant l’un que l’autre dans ce qu’elle a de… thérapeutique. Nous sommes donc deux grands malades qui nous soignons souvent à grands coups de mots, de phrases et de paragraphes.

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