Éternité

L’Archipel du Crabe, comme toute la Terre de Sel, est partagé entre deux pouvoirs antagonistes, la Magie et l’Acier. L’équilibre entre les deux est fragile mais la victoire de l’un des deux camps n’entraînerait que malheurs et ruines. Tous les cinq siècles, les dieux salins choisissent un Élu et lui offrent une graine, dont il doit décider l’usage. Naslie a reçu la graine de l’Éternité et l’a offerte à la Terre de Sel.

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Liquidation (La)

Laurent Cordonnier est économiste et a déjà écrit deux livres qui sont probablement plus des essais ou des pamphlets que des romans : Pas de pitié pour les gueux (Raisons d'agir 2000) et L’économie des Toambapiks (Raisons d'agir, 2010). C'est sans doute pour cela que ce roman souffre aussi fort d'une volonté de démonstration d'une part, d'une exposition répétée, à peine justifiée par les réflexions personnelles du héros et les conversations qu'il entretient sur ses convictions et celles de ses amis, bref d'un excès de théorie et de didactisme.

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Roses de Karakorum (Les)

Dans ce fil historique, les Mongols ont conquis toute l'Europe en vainquant l'une après l'autre toutes les armées occidentales. Le prologue du livre raconte la défaite des armées françaises menées par Louis le Neuvième (qui ne sera jamais saint).

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Monde de la fin (Le)

Le monde de la fin d’Ofir Touché Gafla est le dernier titre paru dans la collection Exofictions d’Actes Sud. Il a reçu le prix Geffen du meilleur roman dans la catégorie Fantasy/Science-fiction et le prix Kugel de littérature hébraïque en 2006.

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Il est difficile d’être un dieu

Sur Arkanar, la société féodale est aux mains du Roi et surtout de son terrible ministre de la Sûreté. Les nobles se contentent de vaquer à leurs occupations oiseuses, tel Roumata. Celui-ci a pourtant un curieux passe-temps : le sauvetage d’intellectuels persécutés par le pouvoir royal. Le jeune noble prend des risques mais il est un de ces surhommes que certains considèrent comme des dieux. Cela suffira-t-il à le sauver ?

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République des enragés (La)

Un amusant roman qui ravive chez ceux qui ont des souvenirs de la « révolution manquée de 68 », et qui l'évoquera aux autres, mais pour plusieurs raisons ce n'est pas une uchronie. Avant tout parce que l'histoire, qui se passe aux prémices des « événements de Mai » et s'achève le 10 mai, donc avant les grandes manifestations, ne prétend pas suivre et développer une histoire divergente.

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Prix Bob Morane 2015 : les finalistes

Les finalistes du Prix Bob Morane 2015 sont :   Romans francophones Ayerdhal : Bastards, Au diable vauvert Morgane Caussarieu : Je suis ton ombre, Mnémos Jeanne A. Debats : L'héritière, Testament T1, Actusf Estelle Faye : Un éclat de givre, Les Moutons électriques Stefan Platteau : Manesh, Moutons électriques Adrien Tomas : Notre-Dame des loups, Mnémos   Romans traduits Stephen Baxter : Anti-glace, Le Bélial' (traduit par Pierre-Paul Durastanti) M.R. Carey : Celle qui a tous les dons, L'Atalante (traduit par Nathalie Mège)

Un regard en arrière

Ce roman est une des nombreuses utopies d'anticipation que, même si l'étymologie pourrait nous y pousser, on ne peut qualifier d'uchronies, même quand la date proposée a été dépassée sans réalisation des « prédictions » du roman. Et même si la quatrième de couverture voit, non sans que les expériences récentes le justifient, un relent totalitaire dans ce rêve d'un État surpuissant mais au service de tous, je pense sincèrement que le risque et le relent sont nettement moins puissants que dans les utopies de Thomas More et de Campanella.

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2097, mémoires de mon père

Comme le titre l'annonce, il s'agit d'une anticipation, d'une utopie dans laquelle un homme qui s'est sacrifié pour mettre fin à un état du monde abominable raconte comment il en est arrivé là, après avoir alternativement connu l'esclavage et l'état de cobaye, la vie des plus riches, un état intermédiaire et enfin la révolte. Il raconte, dans la dernière journée qui lui reste, les épisodes de cette vie presque invraisemblable (comme le serait n'importe quelle vie réelle, non ?) et livre quelques images d'un siècle de décadence, de disparition de toute équité ou démocratie.

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Terminus Elicius

Le premier roman de Karine Giebel est un polar qui se passe en grande partie dans les trains. J’étais curieux de livre ce livre, car le domaine ferroviaire ne m’est pas inconnu.

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