Under the skin

Retour des Envahisseurs ? On pourrait le penser, mais si la rampe de lancement scénaristique est la même ­ des aliens prennent forme humaine pour coloniser le monde ­, les deux trajectoires sont extrêmement différentes. Laura parcourt les routes d'Ecosse pour prendre des hommes en stop, les séduire et les emmener dans une baraque sordide où, par un procédé totalement obscur et sidérant sur le plan visuel, ils finissent par y laisser leur peau, au sens propre du terme. Cette dernière servivra d'enveloppe pour d'autres aliens.

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De 2014 à 2015 avec Anthelme Hauchecorne

Quels ont été vos temps forts, vos désillusions, vos joies, vos coups de gueule… ?La cessation d’activité de mon éditeur aura constitué le temps fort de l’année. Mais cela m’aura permis de me consacrer pleinement à de nouveaux travaux.Quels sont vos livres à ne pas manquer, vos films à ne pas rater... ?

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Treize

Depuis quelques années, les revivers exercent leur talent au service de la société. Ces hommes et ces femmes ont la capacité de contacter brièvement l’âme des défunts et de leur parler. Les revivers sont donc utilisés lors des crimes ou morts suspectes, mais également pour permettre aux proches de faire leurs adieux au défunt.

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De 2014 à 2015 avec Gulzar Joby

Alors, les vœux... Meilleurs vœux aux lectrices et lecteurs de Phénix, à tous les Belges pour l'année à venir. Pour ma part, comme à l'habitude, quelques belles découvertes, des œuvres surprises... Tout d'abord, un merveilleux film tchèque, une comédie des années 50 divisée en deux parties, sur le thème du Golem, « Le boulanger de l'Empereur & L'Empereur du Boulanger », disponible en dvd, chez Artus Films. http://www.artusfilms.com/le-boulanger-de-lempereur-et-lempereur-du-boulanger

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Route (La)

Dans un monde agonisant où tout finit en cendres, après un cataclysme dont l'auteur a la bonne idée de ne rien nous dire, un père et son très jeune fils avancent sur la route en direction du sud, avec l'espoir d'y trouver des conditions plus supportables. L'univers est incinéré, le soleil est voilé et n'apparaît plus jamais, la nature tombe en poussière. Voilà l'esthétique du roman de Cormac McCarthy, qui mise beaucoup sur une plume très sobre et épurée et sa palette de gris pour nous conter la (sur)vie des hommes, après la mort du monde.  

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De 2014 à 2015 avec Céline Guillaume

Il est d'usage, en début d'année, de se présenter « les meilleurs vœux » et d'y ajouter « surtout une bonne santé ». Je ne suis guère originale en vous le précisant.Je pense sincèrement que notre monde est à une époque charnière dans laquelle l'égoïsme universel a le monopole. C'est pourquoi, je ne parlerai ni de moi, ni de mon activité d'auteur, ni de tel autre. En vérité, l'être humain tente de se vendre, de se donner de l'importance alors que la solidarité devrait prendre ledessus. Elle devrait bannir nos ambitions démesurées.

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De 2014 à 2015 avec Bruno Peeters

Quelques coups de cœur pour cette année ? Les voici. Tout d'abord, des événements importants, marquants : - la convention nationale d'Amiens. J'adore le monde des conventions, et celle-ci fut très intéressante. Dans la ville de Jules Verne, nous avons pu assister à des conférences passionnantes (celle d'Ugo Bellagamba, par exemple), rencontrer des gens inventifs (Verchueren et Tag, pour leur série sur Bartok) ou visiter la maison de Jules Verne, ce qu'on n'oublie pas. Merci à Pierre Gevart pour son organisation.

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Que ta volonté soit faite

Maxime Chattam s’amuse à dresser le portrait d’une petite ville du Midwest américain des années 60 jusqu’au début des années 80, avec pour fil rouge l’évolution de Jon Petersen, un pervers psychopathe, de son enfance jusqu’au point culminant de sa sinistre carrière criminelle. Un roman noir à l’écriture et à l’atmosphère uniques dans la carrière de l’auteur, où tout converge vers un final aussi étonnant qu’imprévisible. « Que ta volonté soit faite » est non seulement un voyage à Carson Mills, mais aussi dans ce qui constitue l’essence même du roman policier, la vérité et le crime.

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De 2014 à 2015 avec Frédéric Livyns

Le bilan de l'année écoulée est globalement positif. J'ai eu la chance de passer quelques jours en compagnie d'un auteur dont je suis absolument fan pour démarrer l'année : Sire Cédric. S'adresser aux lecteurs en compagnie d'un tel auteur et échanger des points de vue est une expérience extrêmement enrichissante et je ne suis pas près de l'oublier. Plusieurs autres rencontres avec les lecteurs ont suivi, tantôt sous forme de salons tantôt sous forme de « conférences » mais à chaque fois avec un égal bonheur !

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De 2014 à 2015 avec Marc Van Buggenhout

Année en demi-teinte pour moi, dans laquelle l’imaginaire n’a pas eu la première place. Le fait de passer du domaine bancaire au domaine ferroviaire a nécessité une grande attention qui m’a un peu détourné de la lecture. À cela, le fait de passer de Windows à Mac OS m’a aussi pris du temps.

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