Critiques

Tour des illusions (La)

C’est de la science-fiction du modèle « gore » illustré autrefois par les cauchemars de Brussolo, avec savant fou, riche criminel, monstre doté d’une intelligence prodigieuse par une expérience démente, société paranoïaque et lois « sécuritaires » qui assassinent les pauvres... Et l’annonce d’une société secrète, les Usuriers, qui n’apparaissent que par allusions dans ce récit mais dont la recherche fera l’objet des suites annoncées.

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Iron Sky

Parodie qui va nous faire découvrir les nazis dans l’espace. Ils sont cachés de l’autre côté de la Lune. Comme j’ai vu le film dans sa version originale (anglais et allemand), j’ai directement fait le parallèle avec le titre de Pink Floyd, The dark side of the moon.

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Black Rain S01//E1-2

Purée, le choc… J’ai été quasi subjuguée. Bon pour le résumé, je dois faire court et mystérieux sinon la magie ne pourra pas vous atteindre. Deux ados, Adam et Vince, dans une zone urbaine apocalyptique… Ils sont poursuivi ou ils fuient, sous une pluie aux gouttes noires… ils échappent aux caméras qui truffent la ville, ils cherchent mais quoi ? Ah oui, ils sont schizophrènes et vivent dans une sorte de caserne-hôpital, le lieu qu’ils semblent fuir.

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A l'ombre des pleurs

Solaris n°182

« Psychanalyse (sauvage) des grands thèmes de la science-fiction » : sous ce titre austère se cache un brillant essai d’Elisabeth Vonarburg. Voilà qui n’est pas trop fréquent à l’intérieur d’une revue et qui fait tout le prix de ce numéro. En quelque 42 pages, « l’égérie de la SFQ » aborde les grands thèmes en quatre parties : l’espace, le temps, la société et les êtres.

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Factory et Medina

Bonjour à toutes et à tous.

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Alter Homo

Les vestiges d’un squelette humain et d’une véritable civilisation sont découverts au pied du Mont Cook, Nouvelle Zélande. Un institut d’études de paléontologie envoie Charles Simon, professeur éminent issu d’une famille de spécialistes de l’Homo Giffrensis et son assistante Emma Morton sur les lieux.

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Mémoires d'une aveugle

Qui ne connaît déjà Anne Duguël, alias Gudule ? Voici un recueil de nouvelles, plus de 40, dont la première sert de titre à l’ouvrage. Il est impossible de résumer autant d’histoires, mais j’ai épinglé celles qui m’ont le plus accrochée. Saloperie de fée : ah, Anne Duguël et son « amour/haine » des fées, illustré dans sa trilogie arthurienne. Voici comment une fée se venge des amours d’un adolescent. Truculent, sensuel et amusant.

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Galaxies Nouvelle Série n°16

Qu’est-ce qu’un anthologiste ? “Un assembleur de rêves, un révélateur de talents, un collectionneur d’idées et de talents” comme le définit joliment Pierre Gevart dans son éditorial. Patrice Lajoye, lui-même adepte de cet “art du florilège”, consacre une passionnante enquête à cet aspect important du monde de l’Imaginaire. En effet, l’anthologie circonscrit un domaine particulier et présente un élément historique et didactique capital.

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Nuit à New York (Une)

  Quand on demande à une fille d’être sa copine de 5 minutes pour ne pas perdre la face devant son ex, celle qui vous a lourdé comme un nul et que vous pleurez à chaque respiration, c’est l’effet papillon qui entre en jeu. Voilà comment Nick, batteur hétéro dans un groupe de punk gay, découvre Norah, juive américaine des beaux quartiers, fille de producteur de disques… et accroche en quelques heures. Ce livre est ou court ou on le lit d’une traite… ou les deux. Chaque chapitre est à « une voix » : soit la vision de Nick soit celle de Norah.

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