Petites danses de macabré
Macabré ? Danse macabré ? Danse des morts ? Claude Bolduc, dans sa préface, n’ira pas plus loin dans l’étymologie de cette évocation de la mort, que la musique évoquera aussi (Danse macabre, de Saint-Saëns, ou Danse des morts, d’Honegger).
Si, manifestement, cet hommage ’macabre’ nous vient du plus profond passé médiéval, il attire tout autant notre présent, que la chorégraphie mortuaire fascine encore et toujours. Comme l’écrit Bolduc : "Après tout, le macabre est dans les yeux de qui regarde."