Dune
En refermant ce qui constitue le premier tome du cycle de Dune, je me suis surpris à penser : pourquoi ne l’avais-je pas lu plus tôt ? Peut-être un a-priori, la peur de me lancer dans la lecture d’un énorme pavé. Car cette édition revue et corrigée, parue chez Robert Laffont, ne fait pas moins de 625 pages, annexes comprises. Mais passées les premières pages, le lecteur oublie vite ce nombre, happé par la densité du texte.