Succubus nights
Georgina Kincaid est toujours succube et toujours libraire. Cette fois-ci, on la retrouve à gérer sa relation complexe avec un mortel (Eh oui, s’il la touche, elle lui vole de l’espérance de vie, alors c’est abstinence, un comble pour un succube !) et son collègue Doug qui semble « sous influence ».
Elle aura des choix à faire, comme avec son ami de longue date, l’incube Bastien qui lui offrira une de ses plus chaudes nuits, qui lui laisse un goût de gâchis parce que Bastien a pris les traits de l’homme qu’elle aime.
Ca se lit sans problème, même si le côté fantasy est moins présent dans l’intrigue que dans le premier tome. Ici, à part les amis incube, succube, ange, vampire et démon, la présence d’un demi-dieu en est la quasi seule trace.
On est largement plus dans l’installation d’une vie simple – autant qu’elle le peut. Le principal point d’interrogation est l’origine de la drogue qui ravage la ville et le cœur du récit
Succubus nights de Richelle Mead, traduction de Benoît DOMIS, illustration de Jean-Sébastien ROSSBACH, Bragelonne